Elle me suce la queue en forêt

Vidéo n°109009 ajoutée le 27/12/2025 20:00 dans fellation, française Amatrice. Elle a été vue 2769 fois, dure 02:24 mns et a reçu 5 votes (44%). L’odeur de la forêt arrive avant tout le reste. Humide, verte, un peu lourde. Ça suffit à installer quelque chose. Elle me suce la queue en forêt, dans ma tête, n’est pas une scène détaillée, c’est une pensée brute qui surgit sans prévenir, presque déplacée dans ce décor trop calme. Un contraste qui excite plus que l’idée elle-même. Quand je formule ma salope en train de me tailler une pipe en forêt, je sais que ce sont des mots excessifs, volontairement crus, utilisés comme des déclencheurs mentaux. Elle est française, ça ancre le fantasme dans quelque chose de proche, de crédible. fellation, pipe, pipe baveuse, ce vocabulaire tourne en boucle comme une musique sale, sans jamais devenir un mode d’emploi. Tout reste suggéré, ressenti, jamais raconté dans l’ordre. La fellation en extérieur, le sexe en journée, donnent cette impression de faute douce, de moment volé à la normalité. La forêt n’est pas décrite, elle est juste là, comme un témoin silencieux. Elle peut être vue comme une chienne excitée, une salope en manque chaudasse, une coquine excitée, mais ces mots disent surtout mon propre état d’esprit. Une manière de projeter, de forcer le désir à rester éveillé. Il y a l’idée de ma grosse bite, de ma grosse queue, perçue comme une présence lourde, presque encombrante, jamais détaillée. La pipe en pleine nature, la pipe baveuse, ce sont des images mentales un peu sales, un peu trop, qui servent à maintenir la tension. En arrière-plan, la chatte mouillée existe comme une certitude floue, pas comme une image nette. Tout est contradictoire. Le calme de la forêt contre l’agitation intérieure. L’excitation contre une forme de gêne. Par moments, je me dis que j’en fais trop, que ce ne sont que des mots jetés là. Et pourtant, ils fonctionnent. Ils créent une ambiance, une pression diffuse, sans jamais basculer dans une histoire claire. Ça ne se termine pas vraiment. Le fantasme reste suspendu, accroché à une odeur, à une lumière filtrée entre les arbres, prêt à revenir plus tard, ou à disparaître sans prévenir.

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