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Elle me suce la queue dans une cage d'escaliers

Vidéo n°109011 ajoutée le 27/12/2025 16:00 dans fellation, française Libertine. Elle a été vue 3699 fois, dure 02:30 mns et a reçu 4 votes (45%). La cage d’escaliers a cette résonance particulière, un écho creux qui rend chaque pensée un peu plus lourde. Rien n’est censé se passer là, et c’est précisément ce décalage qui nourrit l’idée. Elle me taille une Pipe dans une cage d’escaliers, dans ma tête, n’est pas une action décrite, mais une phrase qui s’impose, presque brutale, comme un raccourci mental pour parler d’un désir mal placé. Quand je reformule elle me suce la queue dans une cage d’escaliers, je sais que les mots sont crus, volontairement excessifs. Elle est française, cheveux courts, parfois perçue comme un laideron selon l’angle, selon l’humeur. Ce jugement fluctue sans logique. Fellation, fellation sensuelle, ce sont surtout des termes de langage intérieur, des repères pour fixer une ambiance, pas pour raconter une scène. Le sexe en journée renforce cette impression de faute douce, de moment qui n’a pas sa place. Elle est une salope habillée, en apparence banale, mais chargée d’une tension que je projette. Bouche à pipe, bonne suceuse, gorge profonde, ce vocabulaire reste mental, presque abstrait, utilisé pour maintenir une pression, pas pour détailler quoi que ce soit. La pipe baveuse, la bouche baveuse, sont des images exagérées, volontairement floues, qui flottent sans s’ancrer. Je ressens surtout la présence de ma grosse bite, de ma grosse queue, comme une lourdeur, une certitude physique jamais montrée. Agenouillée apparaît comme un mot, pas comme une posture expliquée, un symbole de déséquilibre plus que de domination. Elle peut être vue comme une salope excitée, mais là encore, ce qualificatif parle surtout de mon propre état d’esprit, de cette tension qui monte sans vraie raison. Il y a une contradiction constante : un lieu étroit, presque banal, face à une projection mentale trop chargée. Par moments, je me dis que j’en fais trop, que tout ça n’est qu’un empilement de mots. Et pourtant, ça tient. Parce que ce n’est pas une histoire, ni une scène. C’est une accumulation de sensations diffuses, un fantasme suspendu dans un espace qui ne lui appartient pas, sans conclusion nette, prêt à se dissoudre aussi vite qu’il est apparu.

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