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Ma femme se masturbe en pleine forêt

Vidéo n°107878 ajoutée le 11/11/2025 20:00 dans masturbation, française Libertine. Elle a été vue 5367 fois, dure 02:21 mns et a reçu 7 votes (71%). Le vent passe doucement entre les branches. La lumière filtre à travers les feuilles, dessinant des taches claires sur le sol. Au milieu de cette forêt tranquille, ma femme s’avance, le regard curieux, la peau caressée par l’air frais. Il n’y a personne autour, juste le bruit des oiseaux et le craquement des feuilles sèches. Elle jette un œil à la caméra, un petit sourire au coin des lèvres. Le couple mature que nous formons s’est offert cette parenthèse un peu folle : un moment d’exhibition en forêt, discret, libre, intime. Elle s’appuie contre un arbre, ses gros seins bougent doucement sous la lumière. La salope mature se sent vivante ici, loin de tout. Sa main glisse lentement le long de son ventre, puis s’attarde plus bas. Sa chatte rasée, encore tiède du soleil, se dévoile entre ses cuisses. Les doigts effleurent, dessinent, explorent. La masturbation commence dans un silence presque religieux, seulement troublé par les battements de son cœur. Je filme, sans bouger. L’excitation monte lentement, pas à cause du geste, mais de la vérité du moment : cette femme que j’aime, debout au milieu des arbres, en train de se redécouvrir. Sa respiration devient plus rapide, ses doigts plus insistants. On entend à peine un soupir, un froissement de feuilles. L’exhibition devient naturelle, fluide, comme si la forêt l’acceptait elle aussi. Elle s’agenouille, les genoux dans l’herbe. Le soleil découpe ses formes, sa peau dorée, ses épaules nues. La chatte mouillée brille sous la lumière. Ses doigts accélèrent, s’enfoncent, ressortent, suivent le rythme de son souffle. Elle penche la tête, ferme les yeux. L’intensité monte, sa main libre serre la terre, le corps se tend. Le plaisir s’invite sans retenue. Je zoome un peu, capte chaque détail : le frisson sur sa cuisse, le mouvement de ses hanches, le léger tremblement de ses doigts. Le sexe en extérieur n’a rien de calculé : c’est un besoin, une envie de sentir le vent, la nature, le danger doux d’être vue. Elle gémit à peine, un son étouffé, presque animal. Le plaisir solitaire devient une communion, une manière de respirer autrement. Puis elle change de position, s’allonge dans l’herbe. Les rayons du soleil dessinent sur elle des ombres mouvantes. Sa main repart, plus sûre, plus rapide. Ses doigts glissent sur la chatte mouillée, les sons se mêlent à ceux des insectes. Le plaisir approche. Elle ouvre les yeux vers la caméra, croise mon regard, sourit encore. L’orgasme la prend d’un coup : un cri bref, une vague, puis le calme. Le vent retombe, le silence revient. Je la rejoins, pose la main sur son ventre. Elle rit, fatiguée, belle, couverte d’herbes et de lumière. Pas besoin de mot : on sait qu’on vient de vivre quelque chose de vrai, de cru, d’humain. Cette scène d’exhibition n’a rien de provoquant, c’est juste une histoire d’amour simple entre deux corps encore curieux, encore vivants.

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