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Je me fais doigter en forêt par des randonneurs

Vidéo n°108228 ajoutée le 14/11/2025 08:00 dans mature, française Mature. Elle a été vue 5875 fois, dure 06:48 mns et a reçu 6 votes (87%). La lumière filtrée entre les branches dessinait des taches mouvantes sur le sol, un jeu d’ombres qui donnait à la forêt un air un peu ancien, presque animal. L’odeur de terre humide, de feuilles écrasées sous les pas, collait à l’air comme un parfum brut. Et dans ce décor qui avale les sons, où même le vent semble marcher à pas feutrés, il y a cette femme quinquagénaire qui avance lentement, comme si chaque geste la ramenait un peu plus à elle-même. Elle a cette manière de respirer plus fort quand l’air est frais, cette façon de toucher l’écorce des arbres du bout des doigts, juste pour sentir quelque chose de vivant sous la peau. Son mari cocu, un peu en retrait, garde une distance discrète. Pas une distance froide, non. Une distance attentive, presque protectrice, où son regard raconte tout ce qu’il n’exprime pas. Il observe, il accompagne, il filme même parfois, parce que c’est leur manière à eux de donner un cadre à quelque chose qui dépasse les mots. Ce moment où mon mari me filme en train de me faire doigter par des inconnus n’est pas raconté frontalement : il flotte dans l’air comme une tension, une possibilité, une mise en scène de leurs envies sans jamais tomber dans l’image. Elle, avec sa chatte rasée et son corps de femme mature qui ne s’excuse pas d’exister, marche un peu plus loin, guidée par cette énergie pleine de contradictions. Une femme simple, mais habitée. Une femme qui a ses zones d’ombre et ses élans. Une femme capable d’être à la fois douce et farouche, posée et traversée par une impulsion qu’elle n’explique pas. Et quand elle parle d’exhibition, ce n’est jamais dans un sens agressif : c’est davantage une façon de se sentir vivante dans un environnement qui la dépasse. Les inconnus, ou plutôt les silhouettes de randonneurs, surgissent comme des éléments naturels du décor. Pas menaçants. Pas insistants. Juste présents. Comme si la forêt, ce lieu de secrets et de clairières silencieuses, avait décidé de tisser autour d’elle une scène qu’elle n’aurait jamais imaginée. L’idée de je me fais doigter en forêt par des randonneurs n’est pas décrite : elle est ressentie dans l’air, dans les regards qui se croisent brièvement, dans la tension de son souffle quand quelque chose change autour d’elle. Une ambiance, pas une action. Une montée intérieure, pas une image brute. Son mari suit, filme encore, loin de tout cliché. Il connaît ses élans. Il les accepte. Il y trouve même ce curieux mélange de jalousie et d’excitation que certains appellent candaulisme, un mot qui met un cadre sur ce qui, au fond, reste une histoire humaine, fragile, déroutante. La forêt devient alors un écrin, un espace qui autorise des gestes qu’on ne ferait jamais ailleurs. Le bruissement des feuilles accompagne chaque pas, chaque respiration. La femme se laisse porter par cette montée d’énergie. Elle n’a rien d’une caricature. Et pourtant, dans son souffle plus court, dans son ventre qui se contracte un peu, dans la chaleur qui monte sous sa peau, on lit quelque chose de plus brut. Elle a ce côté salope en feu, mais raconté avec pudeur. Ce côté chienne excitée, mais rendu humain, terrestre, ancré. Et quand son corps réagit, quand elle se laisse aller à cette nervosité sensuelle, on sent la gourmande déchaînée affleurer, non pas dans les gestes, mais dans l’énergie. Sa chatte mouillée n’est jamais décrite, juste suggérée par le frémissement de ses cuisses, par sa façon de s’accrocher à une racine comme si le sol lui donnait un point d’appui. Le sexe en forêt devient alors une expérience atmosphérique, une manière de raconter l’impulsion sans la montrer, de donner du relief à une envie sans la figer. La scène dure le temps qu’il faut. Puis tout retombe. Le souffle se calme. Les pas reprennent. Le vent secoue les branches comme si rien n’avait existé. Et pourtant, quelque part entre les arbres, reste suspendu un moment que seuls eux deux comprendront vraiment.

6 votes (87%)
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