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Une pute aux gros seins me suce la queue

Vidéo n°109023 ajoutée le 29/12/2025 16:00 dans fellation, grosse bite Libertine. Elle a été vue 1092 fois, dure 11:37 mns et a reçu 2 votes (90%). L’hôtel a cette odeur neutre qui efface les repères. Moquette épaisse, lumière trop douce, rien de vraiment personnel. C’est dans ce décor banal que tout se joue, surtout dans la tête. Elle est là, présente sans bouger, cheveux bouclés, yeux marrons, une silhouette qui impose quelque chose avant même qu’on sache quoi. Une pute, une escort — des mots crus que j’utilise intérieurement pour cadrer la situation, pas pour décrire ce qui se passe réellement. La fellation, la grosse bite, la bouche à pipe… ce sont des termes qui flottent comme des slogans mentaux. Pas de geste raconté, pas de chronologie. Juste une tension épaisse, presque gênante. Les gros seins, faux seins peut-être, attirent l’attention sans qu’on sache pourquoi. La chatte rasée, chatte mouillée, ce sont des images répétées pour maintenir l’envie, comme on appuie sur une idée pour qu’elle ne disparaisse pas. Le cul ferme complète le tableau, sans action associée. Il y a cette notion de domination floue, sale, mal assumée. Cracher dans la bouche, éjaculation buccale… ces mots sont volontairement violents, mais ils restent au stade de projection. Rien n’est montré. La gorge profonde devient un concept abstrait, presque ridicule quand on y pense trop. Pipe à l’hôtel, sextape, ce sont des cadres, des fantasmes de décor, pas des scènes. Le sexe est là, mais toujours en périphérie, jamais au centre. La pute aux gros seins n’est pas un personnage détaillé. Elle existe comme une fonction, une posture mentale. Elle suce la queue, elle me suce la bite… ou plutôt non. Ce sont des phrases brutes, utilisées comme déclencheurs internes, pas comme descriptions. La jouissance est évoquée de loin, comme une issue possible qu’on n’atteint pas vraiment. Ce qui reste, au final, c’est cette sensation étrange de contrôle et de perte mêlés. Le fantasme se nourrit de mots trop crus, trop directs, mais il tient justement parce qu’il ne se concrétise pas. Dans cette chambre d’hôtel impersonnelle, tout est suggéré, rien n’est consommé. Et c’est peut-être ça, le vrai moteur : laisser le désir tourner en rond, sans jamais lui donner une forme claire.

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