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Deux grosses bites pour faire jouir ma femme

Vidéo n°109021 ajoutée le 29/12/2025 14:00 dans française, Trio Libertine. Elle a été vue 3130 fois, dure 04:48 mns et a reçu 6 votes (83%). Quelque chose se déplace dans la pièce avant même que l’idée soit claire. Une tension simple, presque banale, comme quand on sait que la soirée ne sera pas ordinaire mais qu’on ne sait pas encore pourquoi. Je regarde ma femme autrement ce soir-là. Pas avec fierté, pas avec jalousie non plus. Plutôt avec ce mélange flou propre au candaulisme, ce moment où l’on accepte de lâcher le contrôle sans vraiment le perdre. Dans ma tête, les mots tournent en boucle. Trio. double pénétration. Sextape. Ce sont des termes crus, presque trop grands, mais je les garde comme des étiquettes mentales, pas comme des actes. Ma femme, française, milf assumée, Brune sexy à la poitrine naturelle et au cul ferme, n’est pas un décor. Elle est une présence. Une posture. Une manière de se tenir, de respirer, de provoquer sans rien faire de précis. Sa chatte rasée, chatte mouillée, ce sont surtout des images que je me répète, comme pour vérifier que je suis encore là, que c’est bien ma femme. Les grosses bites, la grosse queue, la grosse bite… là encore, ce ne sont pas des gestes. C’est une idée de contraste, de surcharge, presque de vertige. Deux présences masculines qui existent autour d’elle, sans que je décrive quoi que ce soit. Le sexe en soirée, c’est cette ambiance un peu lourde, les lumières trop basses, l’alcool pas assez fort, les regards qui insistent. Je suis là, spectateur consentant, parfois acteur mental, parfois simple témoin. Il y a une contradiction que j’assume mal : l’excitation et le détachement. Ma chienne de femme, salope mature dans mes pensées, reste pourtant ma compagne. Rien ne se passe vraiment, tout se passe dans la tête. La double pénétration devient un symbole, une projection, pas une scène. Le trio n’est qu’un cadre, une tension partagée. La sextape, une idée de trace, de mémoire possible, pas un objet réel. Au fond, ce fantasme fonctionne parce qu’il reste flou. Parce qu’il ne se fixe pas. Il vit dans cette zone grise où le désir est plus fort que l’image, où le candaulisme n’est pas une performance mais une sensation diffuse, qui retombe lentement sans jamais se résoudre complètement.

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