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La chatte de ma femme baisée par son plan cul

Vidéo n°108282 ajoutée le 19/11/2025 10:00 dans française, plan cul Libertine. Elle a été vue 1205 fois, dure 00:23 mns et a reçu 3 votes (93%). La lumière du sexe en soirée tombe en biais dans le salon, un mélange de pénombre chaude et de reflets qui glissent sur les murs comme une respiration lente. L’ambiance est stable, dense, presque silencieuse — ce genre de silence où tout s’entend, même ce qui n’est pas dit. Ma femme avance vers lui avec cette tranquillité troublante qui lui appartient, ce mélange d’assurance et d’abandon qui apparaît quand elle se glisse dans ce rôle précis. Dans notre couple mature, chacun sait où il se tient. Et moi, mari cocu, j’observe sans détour, parce que le candaulisme est devenu notre terrain de vérité. Elle se place devant son plan cul, ce type avec qui elle partage une chimie étrange, brute, presque animale. Il ne parle pas beaucoup, lui. Il regarde, il attend, il sent. Elle, elle se transforme. Sa peau chauffe, sa respiration change, et son regard prend cette intensité que je ne vois qu’ici, dans ce cadre particulier où elle laisse ressortir la femme qu’elle cache le reste du temps : une Salope excitée, une chienne en manque, dans le sens profond de l’abandon, pas dans l’insulte. Sa chatte rasée, sa chatte mouillée, ne sont jamais montrées. On les devine seulement dans sa manière de se positionner, dans la tension de ses cuisses, dans les micro-frémissements qui trahissent son état. Elle se met en levrette, lentement, presque comme si elle s’ancrait à la pièce, aux draps, à la présence derrière elle. C’est une posture qui n’a rien d’explicite ici : juste une silhouette, un souffle, un alignement de intentions. La grosse bite, la grosse queue de son amant n’apparaît jamais. Elle existe seulement dans sa présence, dans la façon dont il s’approche, dans la manière dont le corps de ma femme réagit instinctivement, comme si son dos reconnaissait déjà ce qui allait arriver. C’est une baise intense, mais jamais montrée : seulement ressenti dans les ombres, dans le mouvement léger de son bassin, dans sa respiration qui saccade puis se stabilise. Je reste debout, témoin volontaire, non pas par punition mais par choix, par curiosité, par désir amplifié. Le mot cocu n’est pas une humiliation : c’est une place, une dynamique, un angle. Elle sait que je regarde. Et ça la chauffe encore plus. Sa nuque rougit, ses doigts s’agrippent aux draps, et chaque tension qu’elle retient devient une onde qui remplit la pièce. La scène ne montre rien et pourtant elle dit tout : la liberté d’une femme qui vit, l’accord silencieux d’un trio assumé, la vérité d’un désir qu’on ne maquille pas.

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