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Ma femme se fait remplir en gros plan par ma queue bien raide

Vidéo n°107558 ajoutée le 08/10/2025 20:00 dans mature, française Amateur. Elle a été vue 6693 fois, dure 02:08 mns et a reçu 6 votes (80%). La caméra tremble un peu, posée sur le bord du lit. Lumière chaude, presque jaune, rideau collé contre la fenêtre ouverte. On entend juste nos respirations. Ma femme, quadragénaire, nue, chatte rasée, peau douce et chaude. Elle m’attend, jambes entrouvertes, regard brûlant. Une daronne encore belle, Salope déchaînée ce soir. Je m’approche lentement, ma grosse bite dans la main. Elle frémit quand la tête effleure sa chatte mouillée. “Vas-y…” souffle-t-elle, voix rauque, impatiente. Gros plan. Le gland qui glisse entre ses lèvres humides, bruit de chair mouillée. La chatte crémeuse s’ouvre doucement, luisante sous la lumière tremblotante. Je pousse lentement. Elle gémit, on dirait un soupir qui tremble. La peau contre la peau, la chaleur qui colle. Je la regarde, elle mord sa lèvre, yeux mi-clos. “Filme bien,” dit-elle, sourire tordu, chienne en chaleur, salope en feu. Le plan se resserre, on ne voit plus que nos corps qui s’emboîtent, la sueur qui brille, la lenteur presque animale. Je bouge lentement, chaque coup de rein fait remonter un gémissement. Elle lève les hanches, cherche plus, toujours plus. Sa chatte crie presque, le bruit humide devient rythme, sale, vrai. On entend la respiration haletante, le matelas qui grince. Une odeur de peau, de sexe, de draps chauds. Elle se cambre, dos tendu, seins lourds qui se balancent. Je sens sa chaleur, sa mouille qui coule, colle à mes cuisses. “Encore.” Sa voix se brise. Je la prends plus fort, coups précis, profonds. Gros plan sur la pénétration, la chatte brillante, la queue couverte de crème. Elle pousse un cri sec, un mot avalé, un râle. La caméra bouge, tombe presque, mais continue à filmer. Le moment parfait, celui où elle jouit, le ventre contracté, les jambes tremblantes. Elle serre fort, sa chatte dilatée m’enserre comme un étau. Je jouis à mon tour, lentement, profondément, creampie chaud qui déborde, coule sur sa peau luisante. Silence. On reste là, collés, encore connectés. La chambre sent la fatigue et le sexe. Une trace de sueur sur l’oreiller, une chaussette humide au sol, le bruit du ventilateur paresseux. Elle sourit, essoufflée. “Tu filmes trop bien.” Je ris, caméra toujours allumée, encore fixée sur nos peaux emmêlées. Un instant cru, banal et beau. Le genre qu’on revoit plus tard, juste pour se souvenir qu’on s’aime comme ça : sans filtre, sans gêne, sans pose.

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