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Je la sodomise avec son vibro sur son clitoris

Vidéo n°108214 ajoutée le 12/11/2025 20:00 dans française, sodomie Libertine. Elle a été vue 3383 fois, dure 00:50 mns et a reçu 6 votes (60%). La lumière tombait en biais à travers les rideaux tirés, cette lueur jaune qui transforme tout en scène de fin de journée. L’air sentait le vin, le parfum, un peu la chaleur du corps. Rien d’excessif, juste cette ambiance de sexe en soirée, douce et trouble à la fois. Le temps s’étirait, comme si chaque seconde durait un peu plus longtemps que la précédente. Elle s’allonge, calme, presque concentrée. Je la sodomise avec son vibro sur son clitoris, dans ce mélange d’audace et de confiance qui ne s’improvise pas. C’est notre manière à nous de parler, de se comprendre sans un mot. Le souffle court, les gestes lents, la tension qui monte et se relâche. C’est un moment précis, tenu, presque chorégraphié. La lumière joue sur sa peau, la rend dorée, vivante. Sodomie profonde et vibro sur sa chatte dilatée, dit la pensée avant même les mots. Rien de violent, tout de maîtrisé. Le vibro posé là, comme un prolongement du corps, devient un rythme parallèle, un battement discret au milieu du chaos. La chatte rasée se tend, la peau frissonne, le monde devient minuscule. On ne pense plus, on ressent. C’est une salope excitée, oui, mais dans le sens le plus vrai : celle qui assume, qui se lâche, qui ne calcule plus. Elle se cambre, respire fort, se laisse aller avec cette confiance rare qu’on ne trouve que chez les femmes sûres d’elles. Et moi, j’avance doucement, conscient de chaque geste, de chaque limite franchie. C’est du corps, mais c’est aussi du lien. Un instant, elle se retourne, m’attrape, un rire bref. Le mot anulingus flotte comme un souvenir, un geste qu’on connaît, qu’on devine. On joue sans se juger. On se découvre encore, même après tant d’autres nuits. La chienne en manque d’un soir retrouve sa place, son rôle, son feu. La grosse bite, elle, n’est qu’un détail dans le tableau : ce qui compte, c’est la pulsation, la vérité derrière le décor. Et quand tout s’apaise, quand la chaleur redescend, il ne reste que deux corps apaisés, un drap humide, et ce silence rare après la tempête. Ce n’est pas juste de la sodomie, c’est un moment d’équilibre entre deux vies qui se croisent, se heurtent, se reconnaissent. Le monde dehors peut bien tourner, ici tout s’est arrêté, le temps d’un souffle.

6 votes (60%)
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stefh54
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stefh54 - Hésitant | Il y a 1 jours | 40 commentaires | 0 Pts | 43 vidéos |
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madame prend son pied
Alain92
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Alain92 - Hésitant | Il y a 1 jours | 1353 commentaires | 0 Pts | 0 vidéos |
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Joli !!
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