sexetag
Avez-vous 18 ans ?
Pour accéder au contenu, je certifie être majeur.
J'ai 18 ans ou plus - Entrer

Il enfile une capote et vient baiser ma femme

Vidéo n°108284 ajoutée le 20/11/2025 20:00 dans mature, française Libertine. Elle a été vue 5213 fois, dure 00:24 mns et a reçu 9 votes (58%). La lumière du sexe en soirée glisse doucement sur la pièce, un mélange d’ombres et de reflets chauds qui rend tout plus dense, plus lent, plus chargé. Ma femme est debout près du lit, encore légèrement essoufflée, comme si l’anticipation seule l’avait déjà fait basculer dans une autre version d’elle-même. Et moi, mari cocu, je suis là, volontaire, lucide, témoin de ce que le candaulisme réveille chez nous : une intensité qu’on ne trouve nulle part ailleurs. Lui, l’amant, reste calme. Il ne se précipite jamais. Il sait ce qu’il vient faire, il sait la place qu’il occupe, et sa présence seule remplit la pièce. Sa grosse bite, sa grosse queue, n’est jamais montrée — seulement devinée dans son assurance, dans la façon dont il sort la capote, l’ouvre, la déroule avec lenteur sur lui. Ce geste simple devient un signal, une bascule. Ma femme le regarde, et dans son regard, on lit tout : l’envie, la tension, la chaleur qui monte d’un coup. Elle devient cette salope déchaînée, cette chienne en manque qu’elle assume dans ces moments-là, pas dans l’excès, mais dans la vérité pure de son désir. Sa chatte mouillée, sa chatte rasée, ne se voient pas, mais son corps la trahit : ses cuisses qui tremblent, son ventre qui se contracte, sa respiration qui se brise une seconde. Quand il s’approche d’elle, il n’y a rien de brutal. Juste cette énergie maîtrisée qui annonce une baise profonde, un échange sans fioritures, un terrain où chacun sait ce qu’il cherche. Elle se tourne, se place, s’offre en silence, et l’acte n’est jamais montré : seulement suggéré dans la tension de son dos, dans l’ombre de son bassin, dans le mouvement discret de leurs silhouettes. La scène se charge petit à petit. Chaque geste non vu devient plus fort que ce qui serait montré. La baise hardcore, ici, n’est qu’une sensation : sa main qui agrippe les draps, sa nuque qui rougit, son souffle qui devient incontrôlable. Le jouissance, l’orgasme, ne sont pas décrits : seulement suggérés dans la vague qui la traverse, dans ce frisson violent qu’elle essaye de maîtriser avant d’abandonner complètement. Moi, cocu, je reste dans mon rôle, dans ma place choisie, dans ce mélange étrange de voyeurisme tendre et de tension intérieure qui fait partie du jeu. Rien n’est humiliant, rien n’est forcé : tout est accord, désir, feu partagé. La pièce finit par sentir la chaleur, le souffle, l’électricité de ce moment suspendu — un trio silencieux où l’on ne montre rien, mais où l’on ressent absolument tout.

9 votes (58%)
Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire
Afficher/Masquer les commentaires (0)
Ces vidéos devraient vous plaire
Nos catégories du moment