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Je me fais baiser le cul dans un tunel

Vidéo n°108036 ajoutée le 31/10/2025 18:00 dans française, sodomie Libertine. Elle a été vue 3282 fois, dure 02:21 mns et a reçu 4 votes (65%). La réverbération dans le tunnel rend chaque bruit plus fort. Le souffle, les pas, les gémissements. Le sol est froid, l’air humide, mais la chaleur des corps efface tout. La salope excitée est là, les mains contre le mur, le dos cambré, la peau frissonnante. Il s’avance derrière, sans un mot, sa grosse bite déjà prête. Leurs respirations s’accordent, lentes, lourdes, avant le premier contact. L’entrée est lente, tendue, presque douloureuse. La sodomie débute dans un silence chargé. L’anus dilaté s’ouvre sous la pression, les muscles tremblent. Elle retient son souffle, pousse un gémissement rauque. Le son se répercute sur les parois, amplifié, presque animal. Le sexe anal devient le centre du monde. Le sexe en journée, brut, interdit, prend tout son sens ici, loin des regards. La chienne en manque bouge d’elle-même, le corps qui répond, la peau qui chauffe. Le va-et-vient s’installe, profond, précis. La levrette intense fait claquer les hanches contre le béton froid. L’écho des coups résonne, rythmique, obsédant. Elle ferme les yeux, la bouche ouverte, incapable de parler. Ses mains glissent sur le mur humide, ses jambes tremblent. Le tunnel devient une cage de sons, de chair et de lumière tamisée. La grosse bite la prend entièrement, sans pause. Il accélère, grogne, la tient par la taille. L’air sent la sueur, le métal, le sexe. La salope qu’elle devient s’oublie, hurle sans honte. L’instant est sale, parfait, viscéral. Le plaisir déborde, incontrôlable. Les coups s’enchaînent, le rythme devient frénétique, désordonné. Elle gémit fort, sa voix se brise, le corps tendu, le dos creusé. Puis tout s’arrête d’un coup. Le silence tombe, étouffant. Leurs respirations font encore écho. Il se retire lentement, la regarde, haletant. Elle reste penchée, le regard vide, la peau rouge, les cuisses tremblantes. Un sourire discret, fatigué, glisse sur ses lèvres. La lumière du jour traverse le tunnel, éclaire leurs corps. C’est fini, mais l’image reste : deux êtres pris par le réel, par la pulsion, par la sodomie pure et sans fard.

4 votes (65%)
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Slk_68
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Slk_68 - Hésitant | Il y a 8 heures | 90 commentaires | 0 Pts | 0 vidéos |
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J'adore,
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