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Prise en levrette dans les toilettes publiques

Vidéo n°108016 ajoutée le 30/10/2025 20:00 dans française, levrette Amatrice. Elle a été vue 886 fois, dure 00:28 mns et a reçu 3 votes (73%). Le carrelage froid colle aux cuisses, l’écho d’un pas résonne au loin. Elle retient son souffle, le cœur qui tape, les yeux vers la porte entrouverte. C’est sale, un peu glauque, mais c’est justement ça qui l’excite. Une salope française, vraie, spontanée, qui aime le risque, l’instant brut. L’odeur du lieu se mêle à celle du désir, mélange d’humidité et de peau chaude. Il s’approche, la plaque contre le mur, sans un mot. Elle rit à moitié, déjà essoufflée. La coquine excitée sent sa main glisser entre ses jambes. Elle frissonne, pousse un petit cri étouffé. Sa chatte est trempée, impatiente. Il ouvre la braguette, sort sa grosse queue, lourde, dure. Pas un regard autour, juste eux, perdus dans ce moment. Le sexe en levrette s’impose naturellement. Elle s’incline, les mains sur la cuvette, le corps tendu, la jupe relevée. Le choc du premier coup la fait gémir, un son brut, presque animal. Il y va fort, sec, rythmé. La grosse bite entre et ressort, sans pause, sans douceur. Ses fesses claquent, la peau brûle, mais elle en redemande. Les murs tremblent un peu, la porte grince. Elle se cambre, murmure des mots qu’elle ne contrôle plus. L’adrénaline monte, les sens se brouillent. L’exhibition rend chaque geste plus fort, chaque bruit plus intense. Un rire nerveux, un halètement, un claquement sec — tout devient flou. La gourmande déchaînée se retourne, le regard fiévreux, le souffle court. Ses cheveux collent à son front, son maquillage coule. Elle le regarde, avale chaque seconde. Il reprend, plus vite encore. Le bruit du corps contre le carrelage couvre tout. Le plaisir monte, incontrôlable. Elle jouit sans retenue, la voix tremblante, la bouche ouverte. Lui serre les dents, se retient à peine. Quand c’est fini, ils restent un instant, sans parler. Juste les respirations, la chaleur, la trace du moment. Elle se rhabille vite, le sourire en coin, le regard complice. Puis la porte se referme, laissant derrière eux l’odeur du vrai, du vécu, de ce porno amateur qu’on ne peut pas effacer.

3 votes (73%)
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