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J'adore quand elle chevauche ma grosse queue

Vidéo n°108035 ajoutée le 31/10/2025 16:00 dans française, chatte rasée Libertine. Elle a été vue 1048 fois, dure 02:29 mns et a reçu 2 votes (60%). La lumière tombe en biais sur le lit défait. Elle est au-dessus de moi, la peau brillante, la chatte rasée qui frotte contre ma grosse queue avec une lenteur presque cruelle. Ses mains sur mon torse, son souffle court. La salope excitée rit doucement, déjà hors d’elle, le regard planté dans le mien. Le mouvement est sûr, précis, naturel. L’andromaque devient animal, presque sauvage. Le drap colle, la chaleur monte, la pièce sent le corps et le sexe. Elle bouge lentement d’abord, joue, provoque, garde le contrôle. La coquine déchaînée qu’elle devient sait exactement ce qu’elle fait. Son gros cul roule, lourd et beau, la peau qui claque contre la mienne. Les sons remplissent tout : les gémissements, les halètements, le frottement humide de sa chatte mouillée. Le temps s’étire, le monde disparaît. Je pose mes mains sur ses hanches, je la tiens, je la guide un peu. Elle se cambre, s’enfonce, remonte, encore et encore. La grosse bite disparaît dans un va-et-vient parfait. Ses cheveux collent à son front, elle gémit, murmure des mots que je ne comprends pas. Son dos se tend, ses seins rebondissent à chaque mouvement. Le rythme devient plus fort, plus brutal. La salope excitée n’existe plus, il ne reste qu’elle, pure tension, pure envie. Je sens chaque vibration, chaque contraction. Sa peau brûle contre la mienne. Elle accélère, m’écrase, crie presque. L’andromaque renversé atteint son point de rupture. Elle bascule en arrière, les yeux fermés, le corps qui tremble. La chatte mouillée serre fort, la grosse queue s’enfonce encore, plus profond. Le plaisir explose, brutal, partagé. Quand tout s’apaise, elle reste là, immobile, haletante, la tête posée contre mon épaule. Le silence ne dure que quelques secondes avant qu’on éclate de rire. La sextape tourne toujours, capte ce moment banal et parfait à la fois. Rien de faux, rien de joué. Juste deux corps, du désir et la certitude que, dans ce désordre, tout est vrai.

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