sexetag
Avez-vous 18 ans ?
Pour accéder au contenu, je certifie être majeur.
J'ai 18 ans ou plus - Entrer

Une salope gothique se fait défoncer sous la douche par un noir

Vidéo n°108017 ajoutée le 30/10/2025 22:00 dans grosse bite, bonasse Libertine. Elle a été vue 774 fois, dure 11:44 mns et a reçu 2 votes (80%). La vapeur emplit la salle de bain, floute les contours, rend tout moite et lourd. La bonasse gothique s’appuie contre le mur carrelé, l’eau ruisselle sur sa chatte rasée qui brille sous la lumière. Elle ferme les yeux, respire fort. Le bruit du jet couvre presque les gémissements. Derrière elle, le black s’avance, sûr de lui, peau sombre contre peau pâle. Le contraste est saisissant. Il la saisit par les hanches, la rapproche, la respire. Le début est doux, presque tendre. Sa langue descend lentement, explore. Le cunilingus est précis, humide, interminable. Elle gémit, s’agrippe à la paroi, ses doigts qui griffent la buée. Ses jambes tremblent, ses hanches bougent d’elles-mêmes. Elle le tire vers elle, impatiente, la bouche ouverte pour l’accueillir. La fellation suit, profonde, sonore, un rythme qui s’accélère. La salope excitée aspire, avale, s’interrompt pour reprendre son souffle, puis recommence, déchaînée. L’eau coule toujours, les corps glissent, le sol devient glissant. Il la retourne, la place en levrette. La chienne en manque cambre le dos, offre tout. La grosse bite s’enfonce lentement, puis plus fort. Chaque coup résonne contre le carrelage, sec, régulier. Le mélange d’eau et de sueur rend tout plus brut, plus vrai. Elle crie, murmure des mots qu’elle ne contrôle pas. Le rythme s’accélère, la vapeur épaissit l’air. Elle se retourne, l’embrasse, puis le repousse. L’eau coule sur leurs visages, efface tout sauf le désir. Il la reprend, plus bas, plus fort, la jouissance monte sans prévenir. Ses jambes lâchent, son souffle se casse. Il la tient, continue, encore un peu, jusqu’à ce qu’elle tremble complètement. Le sexe en journée n’a jamais semblé aussi vivant, aussi vrai. Quand le silence revient, ils restent là, collés l’un contre l’autre, la peau brûlante. L’eau coule encore, comme si rien n’avait existé. Mais leurs regards, eux, ne mentent pas : c’était brut, instinctif, animal. Le genre de scène qu’aucune caméra ne pourrait rendre. Juste du vécu, du vrai, du porno amateur dans toute sa fièvre.

2 votes (80%)
Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire
Afficher/Masquer les commentaires (0)
Ces vidéos devraient vous plaire
Nos catégories du moment