Mon époux adore quand je caresse sa grosse queue

Vidéo n°107454 ajoutée le 30/10/2025 02:00 dans française, branlette Libertine. Elle a été vue 1239 fois, dure 01:13 mns et a reçu 2 votes (100%). La lumière du matin se pose doucement sur le drap froissé. Je suis là, allongée près de lui, à le regarder encore à moitié endormi. La respiration lente, le torse nu, le sourire discret. C’est un de ces moments simples qu’on ne prévoit pas. Je laisse ma main glisser sous le drap, lentement, jusqu’à sentir la chaleur de sa peau. Ma paume frôle sa grosse queue, encore molle, puis je la prends, doucement, juste pour la sentir pulser sous mes doigts. La branlette commence toujours comme ça — sans un mot, juste ce besoin tranquille de le réveiller à ma manière. Je sens le corps de mon époux, ce couple mature qu’on forme, se tendre à mesure que mes gestes se font plus précis. Sa grosse bite gonfle peu à peu, lourde dans ma main. La peau glisse, douce, chaude. Je la caresse avec lenteur, puis avec un peu plus de rythme. Il ouvre les yeux, me regarde, un sourire au coin des lèvres. “T’arrêtes pas…” murmure-t-il. Alors je continue, le souffle court, concentrée sur ce va-et-vient régulier. La pièce sent le matin, la peau, le café oublié sur la table. Ma mature excitée en moi prend le dessus, curieuse, joueuse. J’aime cette masturbation tranquille, cette branlette en journée qui vient sans prévenir, au détour d’un moment volé. Sa respiration devient plus lourde, son bassin bouge à peine, mais je sens tout : chaque tressautement, chaque frisson. Ma main glisse plus vite, plus fort. La vieille Salope que je deviens parfois adore cette proximité, cette chaleur qui monte entre nous. Je crache un peu dans ma main, reprends, plus souple, plus fluide. Le bruit discret du frottement remplit la pièce. Il ferme les yeux, gémit. La chienne en manque que je suis ne cherche pas la performance — juste la sensation, ce lien vivant. Le contact, la chaleur, le pouvoir doux d’une main qui connaît son homme. Quand tout s’accélère, je ralentis volontairement. Je joue avec lui, fais durer le plaisir, le pousse à bout. Il gémit plus fort, m’attrape le poignet, et dans un dernier soupir, se libère sur mon ventre. Je reste là, haletante, sourire aux lèvres, fière de l’avoir amené là, juste avec mes doigts. Je m’essuie d’un geste, me blottis contre lui. Nos respirations se mêlent, le silence reprend. Ce n’était rien, juste une branlette entre deux rires, une routine devenue tendresse. Et c’est ça, le vrai porno amateur : pas des cris, pas de jeu, juste un couple réel, complice, vivant, où le plaisir se partage sans effort, sans masque, sans fin.

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