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Il encule une salope obèse en bas résille

Vidéo n°108014 ajoutée le 30/10/2025 16:00 dans sodomie, obèse Libertine. Elle a été vue 929 fois, dure 05:14 mns et a reçu 2 votes (100%). La lumière du soir s’accroche aux murs, rouge et douce à la fois. Elle, une nana obèse en bas résille, attend sur le bord du lit, haletante, nerveuse, les doigts qui tirent un peu sur les mailles tendues. Son mec la rejoint, la caresse, la retourne doucement, avant de laisser la tension s’installer. Rien d’exagéré, juste ce moment suspendu, épais, où le silence en dit long. C’est du sexe en soirée, cru, vivant, le genre de sextape qu’on ne rejoue pas deux fois. Le corps d’elle, large et chaud, respire la sincérité. La salope excitée gémit bas, quand il glisse sa main, explore, puis s’enfonce plus franchement. L’anulingus ouvre la scène, lentement, presque tendrement. On entend tout : le souffle, les frottements, le drap qui colle. Son anus dilaté s’offre à lui, sans pudeur, sans fard. Elle rit un peu, d’un rire nerveux et heureux à la fois. Lui, concentré, la maintient, la guide, prêt à aller plus loin. La sodomie commence dans un mélange d’hésitation et d’abandon. Il y va doucement, puis plus fort. Elle encaisse, s’accroche au matelas, les bas résille tendus sur ses cuisses épaisses, la peau qui brille sous la lampe. Les sons deviennent plus rudes, les gestes plus francs. Il murmure quelque chose, elle répond à moitié, perdue entre douleur et plaisir. La scène reste vraie, désordonnée, pleine de souffle et de peau. La caméra bouge un peu, capte les gros seins qui se balancent, le ventre qui tremble, le visage tourné vers la lumière. On sent le poids du moment, l’intensité du corps, la force brute d’une grosse bite qui s’enfonce dans cet espace étroit. Rien n’est lisse, tout est humain, lourd, vibrant. Il se retient, s’arrête, recommence, encore, encore, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Quand tout s’apaise, les draps sont humides, la respiration saccadée. Elle se tourne, un sourire fatigué au coin des lèvres. Lui reste là, silencieux, la main sur sa hanche, encore surpris de ce qu’ils viennent de vivre. Il n’y a pas de mot, juste cette vérité qui colle à la peau. Ce moment, brut, lourd, sincère, qu’aucune fiction ne pourrait égaler.

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