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Un escort suce la grosse queue de son client

Vidéo n°108222 ajoutée le 13/11/2025 10:00 dans fellation, pute Libertine. Elle a été vue 5445 fois, dure 13:48 mns et a reçu 3 votes (47%). La scène se déroule dans un appartement impersonnel de centre-ville, un de ces lieux où tout semble passer sans vraiment laisser de trace. Il est un peu plus de vingt heures. Dehors, le bruit des voitures se mêle à celui de la pluie. Dedans, un homme attend. Il a réservé un escort, comme d’autres commanderaient un repas : par habitude, par curiosité, peut-être par solitude. Rien de clinquant, juste ce besoin d’un contact, même éphémère. Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre. Elle apparaît, discrète, sûre d’elle. Une bonasse, comme diraient certains, mais surtout une femme qui connaît son rôle. Les gestes sont précis, mesurés. Elle observe la pièce, s’installe, parle peu. On sent la distance professionnelle, la pudeur contrôlée de celles qui en ont vu beaucoup. L’atmosphère se détend, une forme d’accord tacite s’installe : il paie, elle écoute, ils jouent à être deux personnes qui se comprennent. Dans ce métier, la fellation, la levrette ou la sodomie ne sont pas seulement des mots ; ce sont des codes, des repères dans un scénario toujours réinventé. L’escort les énumère parfois d’une voix calme, comme une liste d’options dans un contrat silencieux. Elle parle d’hygiène, de limites, de respect. L’homme hoche la tête, conscient du cadre. Il n’y a pas de surprise, juste cette mise en scène maîtrisée du désir. Lui, client régulier, avoue aimer les femmes confiantes, autonomes. Il sait qu’ici, il n’achète pas un corps, mais un moment où il peut cesser d’être lui-même. La grosse queue qu’il plaisante en évoquant n’est qu’un détail, une bravade. Ce qui l’attire vraiment, c’est cette impression d’abandon temporaire, cette illusion de proximité qu’il ne retrouve pas ailleurs. Elle, l’excellente suceuse comme la rumeur la décrit, garde toujours le contrôle. Derrière le masque de la salope professionnelle, il y a une femme lucide, organisée, qui gère son agenda comme une cheffe d’entreprise. Chaque rendez-vous est calibré : horaires, règles, confidentialité. Elle ne joue pas à l’amoureuse ; elle gère un métier qui exige plus de sang-froid que beaucoup d’autres. Quand la soirée s’achève, elle range son sac, remet son manteau, jette un dernier regard dans le miroir. Il lui glisse une enveloppe, murmure un merci sans trop savoir pourquoi. Elle sourit à peine, déjà ailleurs. Dehors, la pluie continue. Rien d’extraordinaire, juste une tranche de vie dans cette économie parallèle du désir, où tout s’achète mais où rien ne s’improvise.

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