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Elle me suce la queue dans la salle de bain et me vide les couilles

Vidéo n°108218 ajoutée le 13/11/2025 02:00 dans fellation, bonasse Libertine. Elle a été vue 6525 fois, dure 04:54 mns et a reçu 4 votes (100%). La buée colle aux vitres, les gouttes roulent lentement le long du miroir. L’eau encore tiède glisse sur le carrelage et l’air est saturé d’odeur de savon et de peau. On est loin du décor parfait : juste une salle de bain ordinaire, trop petite, trop vraie. Et pourtant, c’est souvent dans ces endroits-là que le monde se met sur pause. Ma nana me suce dans la salle de bain et se fait baiser, scène discrète, volée au quotidien, sans musique, sans artifice. Les gestes sont sûrs, naturels, comme si tout cela appartenait à une habitude douce. Le carrelage froid, la vapeur, le son de l’eau qui goutte : tout devient décor et rythme à la fois. L’instant a cette sincérité brute que les mots trahissent toujours. Elle me suce la queue dans la salle de bain et me vide les couilles, pensée qui traverse l’esprit sans qu’on la dise. Ce n’est pas une question d’excès : c’est une question d’instinct, de confiance. Le couple mature qu’on est se retrouve dans ce silence, entre un éclat de rire et une respiration plus courte. La sextape tourne peut-être, ou pas ; peu importe. Ce qui compte, c’est ce qui reste. La fellation devient un langage. Le contact, la lenteur, la concentration. L’excellente suceuse qu’elle est s’amuse sans chercher à plaire, juste pour vivre l’instant. Ses gros seins, sa poitrine naturelle, sa façon de bouger — tout parle pour elle. Il y a cette désinvolture qui rend tout crédible, ce mélange de sensualité et de tendresse mal rangée. Un peu plus tard, la scène change. L’eau continue de couler, les gestes deviennent plus pressés. On rit, on se pousse, on se retrouve contre la paroi embuée. Une bonasse, une salope sexy, mais dans le sens le plus libre du mot : celle qui s’assume, qui ose. La chaleur de la peau, l’odeur du savon, le bruit du carrelage mouillé – tous les sens s’emmêlent. Et quand la grosse bite disparaît du cadre, quand tout retombe, il ne reste qu’une trace sur la peau, une éjaculation sur le cul qu’on essuie sans gêne. Le miroir se vide de sa buée, la branlette en soirée appartient déjà à hier. Ce qu’il reste, c’est un parfum de sincérité, une fatigue douce, un moment vécu sans pose. Juste la réalité de deux corps, unis dans la lumière humide d’une fin de journée.

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