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Un mari cocu filme son laideron se faire baiser par un black

Vidéo n°108223 ajoutée le 13/11/2025 12:00 dans levrette, cocu Libertine. Elle a été vue 3213 fois, dure 06:55 mns et a reçu 4 votes (55%). Le silence du salon est étrange, presque trop présent. On n’entend que le léger cliquetis d’une caméra sur pied et la respiration lente de l’homme derrière l’objectif. Sur le canapé, la lumière chaude d’une lampe halogène découpe des ombres, trop humaines pour être neutres. Tout semble calme, mais dessous, quelque chose bouillonne. Un mari cocu filme son laideron se faire baiser par un black. La phrase sonne comme une provocation, mais la réalité, c’est une tension sourde, un mélange de honte et de fascination. Ce soir-là, il a accepté de regarder sans intervenir, de laisser le scénario se jouer sous ses yeux. C’est sa décision, son idée. Une manière de comprendre jusqu’où il peut aller dans ce rôle qu’il s’impose : celui du mari cocu lucide. Elle, la femme qu’il filme, n’est pas une héroïne. Une chienne mature, un peu obèse, maladroite, parfois trop vraie pour plaire. Mais c’est justement ce qui le retient : cette authenticité, cette fragilité qui le désarme. Elle sourit parfois vers la caméra, comme pour vérifier qu’il regarde encore. Le geste est à la fois cruel et tendre, comme un rappel de leur lien. L’autre, grand, calme, sûr de lui, représente tout ce qu’il n’est pas. Une présence lourde, assumée. La rumeur parle de bite de black, mais ici, ce n’est qu’un symbole : celui d’une puissance qu’il observe sans la détester. La scène devient miroir. Ce n’est pas du voyeurisme, c’est de l’introspection brutale. Le mot candaulisme paraît théorique, presque académique, mais dans cette pièce, il prend chair. Ce n’est pas une idée, c’est un vertige : accepter de voir pour mieux comprendre. Le couple mature qu’ils forment bascule dans une zone trouble où la jalousie devient excitation, où la perte devient contrôle. Il ne s’agit plus de sexe, mais de pouvoir, de regard, de vérité. La levrette, mot glissé comme un code, n’est plus qu’un point de repère. Ce qu’il filme, ce n’est pas une position, c’est un renversement : celui d’un homme qui regarde sa propre histoire se transformer. La caméra tremble parfois ; il respire fort, mais reste là. Jusqu’au bout. Quand la scène s’achève, la lumière s’éteint doucement. Elle se rhabille en silence, lui garde la caméra en main. Il ne dit rien. Peut-être un sourire, peut-être un soupir. Il sait que quelque chose a changé, sans savoir quoi. Dans le noir, la vidéo clignote encore. Un témoin muet de cette nuit où tout s’est inversé, et où, paradoxalement, tout s’est peut-être reconstruit.

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