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Ma salope en lingerie se fait défoncer sa petite chatte

Vidéo n°108245 ajoutée le 15/11/2025 18:00 dans levrette, bonasse Libertine. Elle a été vue 9840 fois, dure 09:00 mns et a reçu 5 votes (80%). Ça commence comme un froissement léger, celui d’une lingerie sexy qui glisse quand elle bouge un peu trop vite, et dans la lumière qui tape contre le mur, tu vois juste cette bonasse qui respire fort, les épaules un peu crispées comme si elle savait déjà qu’elle allait trop loin. Elle a ce côté bimbo assumé, mais sans caricature : simplement une femme qui enfile ce qu’elle veut pour se sentir vivante, avec sa poitrine naturelle qui dépasse légèrement du tissu, avec cette manière presque distraite de replacer la bretelle avant que tout bascule. Elle est là, posée sur le lit, lingerie sexy encore en place mais prête à céder, et tu sens que tout est déjà en tension. Son mec — ou son plan du moment — reste debout devant elle, et elle approche la bouche comme si ça allait de soi. Elle commence une fellation maladroite mais volontaire, une pipe baveuse qui coule un peu trop, qui laisse des traces brillantes le long de sa grosse queue. Elle respire bruyamment, elle change d’angle, elle s’essuie du poignet, puis recommence comme si rien d’autre n’existait. L’ambiance n’a rien de glamour, c’est juste vrai, direct, humain. Quand elle se laisse tomber en arrière, la lingerie se déplace, sa chatte rasée apparaît sans effort, et son souffle change. Elle écarte les jambes comme une évidence, laisse son partenaire descendre en cunnilingus, un moment bref mais intense où elle serre les draps comme si tout vibrait trop vite. Puis elle se retourne d’un geste sec, son dos cambré, ses mains plantées dans le matelas. La levrette part sans prévenir, brutale mais attendue, sa petite chatte qui cède, son corps qui encaisse chaque mouvement. Elle essaie de retenir ses cris, mais ça ne tient pas longtemps — elle n’est plus vraiment dans la retenue, juste dans ce qu’elle ressent. La scène reste simple : le lit, la lingerie qui glisse, le souffle court. Et quand la cadence change, tu sens déjà la fin approcher. Elle se retourne, ouvre la bouche, encore essoufflée, et attend cette éjaculation buccale comme si c’était la conclusion naturelle de leur moment. Rien de théâtral. Rien de forcé. Juste deux corps qui se cherchent, se prennent, se lâchent dans un instant trop brut pour être maquillé.

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