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Il filme sa femme se faire prendre par un inconnu

Vidéo n°108039 ajoutée le 01/11/2025 00:00 dans française, sextape Libertine. Elle a été vue 2154 fois, dure 06:13 mns et a reçu 2 votes (90%). Le silence est presque pesant quand la caméra s’allume. L’homme ajuste l’angle, vérifie la lumière. En face de lui, sa femme, cette salope mature au regard calme, respire lentement. Tout est consenti, préparé, mais malgré l’accord, le cœur bat plus vite. C’est une expérience qu’ils ont décidée ensemble, un jeu de candaulisme assumé. Ce soir, il filme pendant qu’un inconnu la découvre, pendant qu’elle se laisse aller à une aventure qu’ils ont imaginée depuis des semaines. Le cocu garde une distance respectueuse, les yeux fixés sur le viseur. L’inconnu s’approche d’elle sans un mot, juste un frôlement du bout des doigts sur sa hanche. Le contact est timide au début, puis plus précis. La tension monte, lente, électrique. Le premier baiser se pose, puis les gestes s’enchaînent avec une fluidité presque naturelle. C’est étrange de voir sa femme autrement, offerte à un autre, sans honte, dans ce mélange de gêne et de fascination. La scène s’installe dans une ambiance douce. Les draps clairs, la lumière tamisée. Elle s’allonge, le missionnaire commence, lentement. L’inconnu met une capote, prudence partagée, puis la grosse queue s’avance en elle, dans un mouvement sûr et mesuré. Le corps de la femme réagit aussitôt, ses mains agrippent les draps, son souffle devient irrégulier. L’homme derrière la caméra serre les dents, incapable de détacher son regard. Les gémissements remplissent la pièce. Le rythme s’intensifie, plus fort, plus profond. On entend le froissement du latex, la peau contre la peau, la respiration haletante. Le candaulisme n’a rien d’une provocation : c’est une expérience de confiance. Elle tourne la tête, croise un instant le regard de son mari derrière l’objectif. Il y a de la pudeur et du désir mêlés. Puis vient un changement de rythme. Ils s’installent dans un 69 improvisé, plus spontané que prévu. Les deux corps s’enlacent, les sons changent. Sa langue glisse le long du bas-ventre de l’inconnu, elle le prend lentement, pendant qu’il répond à son plaisir. L’homme qui filme s’approche, capte chaque mouvement, chaque frisson, sans intervenir. L’anulingus arrive comme une surprise. L’inconnu la retourne doucement, explore, lentement, attentif à chaque réaction. La femme rit, gênée et excitée, avant de fermer les yeux et de se laisser aller. C’est cru, réel, presque hypnotique. Les sons se mêlent, les respirations s’entrechoquent. La fin approche. Il la ramène en missionnaire, plus fort, plus rythmé. Les mouvements s’accélèrent, le corps de la femme s’arque, son visage se fige. Le cocu, derrière la caméra, tremble un peu. L’inconnu se retire, retire la capote, et un facial discret vient conclure la scène. Rien d’exagéré, rien de théâtral : juste un moment vrai, où trois désirs se croisent sans jugement. Quand tout s’arrête, il n’y a pas de malaise. Juste un silence, un sourire, une complicité nouvelle. L’homme baisse la caméra, la femme le regarde, fatiguée, apaisée. Le candaulisme a tenu sa promesse : faire tomber les barrières, rappeler que le plaisir peut aussi passer par la confiance, la curiosité, le regard de l’autre.

2 votes (90%)
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