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La daronne excitée chevauche lentement ma queue avant de jouir fort

Vidéo n°107557 ajoutée le 08/10/2025 18:00 dans mature, française Libertine. Elle a été vue 6805 fois, dure 03:21 mns et a reçu 7 votes (77%). La lumière du soir filtre à travers les rideaux. Odeur de vin, de peau tiède, de sueur douce. Elle est là, ma femme, quinquagénaire encore belle, la peau dorée, les seins lourds qui bougent à chaque respiration. Elle monte sur moi sans un mot, juste un regard. Celui d’une salope en manque qui sait exactement ce qu’elle veut. Ses cuisses se posent, la chaleur se mêle à la mienne. Ma grosse bite glisse lentement entre ses lèvres mouillées, la chatte dilatée qui s’ouvre toute seule, impatiente. Elle soupire, dos cambré, mains sur mon torse. “T’avais envie, hein ?” souffle-t-elle, sourire en coin. Son ton est presque moqueur, provocant, daronne excitée, gourmande déchaînée. Gros plan. Ses hanches bougent lentement, mouvement sensuel, régulier, andromaque parfaite. Ses seins naturels rebondissent à chaque va-et-vient, le bruit humide rythme la pièce. Elle ferme les yeux, les lèvres tremblent, un filet de salive glisse le long de son menton. L’air est lourd, presque collant, la chaleur s’accroche aux draps froissés. Je la regarde, hypnotisé. Ses cheveux collent à sa nuque, ses gémissements montent, rauques, réels. Elle se penche, m’embrasse à moitié, halète dans mon oreille. “Je veux que tu me remplisses.” Ses mots claquent, crus, vrais. Ses mouvements s’accélèrent, son cul claque contre mes cuisses. Elle s’écrase, se relève, encore et encore, chienne en manque, garce en feu. Une lampe bancale tremble à chaque coup de rein. Le sommier grince, une bouteille vide roule au sol. On dirait un vieux film de sexe en soirée, sauf que là, c’est nous. Juste nous, nos corps qui se retrouvent, bruts, transpirants, maladroits et beaux. Elle s’arrête un instant, respire fort, puis reprend plus fort encore. Sa chatte mouillée serre, m’aspire presque. Elle jouit soudain, sans prévenir, en silence d’abord, puis en cri étouffé contre mon cou. Je la sens trembler, toute entière. Et quand je jouis à mon tour, c’est profond, long, un creampie chaud qui déborde lentement. Elle reste immobile un moment, collée contre moi, poitrine qui se soulève, souffle court. Une goutte de sueur tombe sur mon torse. La chambre sent le sexe, la peau, la fatigue. Une chaussette humide traîne au bord du lit. Elle rit doucement, épuisée, belle. “Vieille Salope, hein ?” qu’elle murmure en riant. Je lui caresse la cuisse, sans répondre. Parce que oui, elle l’est. Et je l’aime comme ça.

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