La chatte de ma femme en train de se prendre ma grosse queue

Vidéo n°108486 ajoutée le 28/11/2025 10:00 dans française, levrette Amatrice. Elle a été vue 334 fois, dure 01:14 mns et a reçu 2 votes (80%). La scène me revient comme un flash un peu trouble, avec cette chaleur particulière qui reste dans l’air après un apéro où tout le monde a trop parlé, trop ri, trop laissé glisser les heures. On est rentrés tard, encore un peu chambrés par les verres, encore plus par cette façon qu’a ma femme — française dans ses gestes, dans sa manière de vibrer — de se rapprocher sans réfléchir. On dirait que tout s’aligne d’un coup : le silence de la maison, la lumière qui tombe en biais dans la chambre, et ce moment où elle se penche en avant, presque naturellement, comme si son corps savait mieux que sa tête ce qu’il voulait. La levrette, c’est elle qui la cherche, sans que j’aie besoin de dire quoi que ce soit. Elle bascule son bassin, se met à quatre pattes sur le lit, les épaules relâchées, la respiration déjà plus courte. Et à cet instant-là, je ne vois plus que sa chatte rasée, si nette, si exposée, une image presque trop franche pour que le cerveau la digère d’un coup. Sa chatte mouillée reflète la lumière d’une manière étrange, comme si tout ce qu’elle ressentait remontait à la surface pour être visible malgré elle. Ma grosse bite — ma grosse queue — se place naturellement dans ma main, un geste instinctif, un réflexe presque animal. Rien d’agressif, rien d’exhibé : juste cette envie simple, brute, qui circule dans tout le corps après un apéro trop long. Le sexe après apéro a cette couleur particulière : un peu floue, un peu titubante, mais terriblement vraie. On ne surjoue rien. On ne calcule rien. On suit l’élan, et c’est exactement ce qui donne à la scène cette intensité tranquille. Quand je la prends en levrette, ce n’est pas un mouvement sec. C’est un glissement lent, précis, où ma grosse queue cherche sa place, où son corps se détend juste au moment où je m’y attends le moins. On sent la chaleur de sa chatte mouillée envelopper tout, cette sensation dense, presque terracotta, qui monte dans les reins. Elle bouge ses hanches par réflexe, comme si chaque geste de ma part déclenchait un écho dans le bas de son ventre. On dirait une conversation silencieuse, une suite d’impulsions qui se répondent. La levrette profonde arrive sans qu’on la décide vraiment. Elle avance un peu, puis recule, puis se cambre davantage, comme si son propre corps tirait les ficelles. Et à chaque fois que je vais plus loin, son souffle change. Un souffle haché, nerveux, qui trahit ce moment où la jouissance ne prévient plus, où elle déborde avant même d’être consciente. Ses doigts se crispent sur le drap, ses cuisses tremblent légèrement, et son dos se creuse encore plus, comme si elle voulait que tout passe, tout s’ancre, tout la traverse. Le temps perd son contour. Plus de bruit autour. Plus rien d’extérieur. Juste elle, sa chatte rasée offerte, sa chatte mouillée qui pulse contre ma grosse queue, et cette montée silencieuse qui finit par éclater dans un frisson long, profond, vibrant, qui lui traverse la colonne et me traverse avec. Un moment brut, simple, réel. Sans mise en scène. Sans distance. Juste deux corps qui se retrouvent là où eux seuls savent encore se parler.

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