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Deux salopes font du sexe avec ma queue

Vidéo n°108487 ajoutée le 28/11/2025 12:00 dans française, Trio Amatrice. Elle a été vue 2574 fois, dure 02:39 mns et a reçu 5 votes (84%). Ça revient comme une image brute, un morceau de journée découpé trop vite, avec cette lumière blanche qui tombe en plein sur nous et qui ne pardonne rien. Deux Françaises, pas des silhouettes de magazine, mais des femmes vraies, un peu fatiguées, un peu cabossées, chacune avec sa manière de tenir debout. Dans les mots crus, on parlerait de salope mature, de laideron, de chienne en manque. Dans cette version plus neutre, ça devient surtout leur énergie : une impulsion vive, un désir franc, quelque chose qui brûle juste sous la peau sans chercher à se cacher. On est dehors, dans un coin un peu isolé, assez loin pour que personne ne passe vraiment, assez près pour sentir le vent qui soulève parfois un pan de vêtements. Le sexe en extérieur a toujours ce côté imprévisible, presque nerveux, où chaque bruit peut faire sursauter et où chaque geste paraît un peu plus intense qu’à l’intérieur. Elles se tiennent devant moi, l’une plus assurée, l’autre un peu maladroite, mais toutes les deux portées par la même envie de sexe, la même tension qui se lit dans leurs yeux et dans leurs respirations courtes. La première se place à ma droite. Elle a ce regard décidé, cette façon de se mouvoir comme quelqu’un qui sait exactement pourquoi elle est là. Ses doigts viennent d’abord effleurer ma peau, puis se referment autour de ma queue avec une lenteur calculée. La branlette démarre presque timidement, comme un test, un repère. La seconde, plus hésitante, se rapproche à son tour. Elle observe, analyse, puis pose sa main elle aussi, cherchant naturellement le rythme que l’autre a commencé à instaurer. La chaleur de leurs paumes contraste avec l’air frais. Ça donne une sensation étrange, décalée, presque vivante. Elles se synchronisent sans parler, comme si leurs gestes se répondaient tout seuls. L’une accélère un peu, l’autre suit. Puis l’autre ralentit, et la première adapte son mouvement. Ce plan à trois perd soudain tout aspect “fantasme” pour devenir quelque chose d’étonnamment humain : deux femmes qui, pour quelques minutes, partagent le même fil, la même impulsion, le même besoin de ressentir par les mains ce qu’elles n’arrivent pas à dire. Le sexe en journée ajoute un réalisme particulier : pas de lumière flatteuse, pas de décor pensé. Juste le ciel, le vent, la terre sous nos pieds, et leurs doigts qui serrent, desserrent, reprennent, plus affirmées à chaque seconde. La chienne en manque qu’on aurait décrite dans le langage cru se transforme ici en une intensité physique : elles respirent plus vite, se mordent parfois la lèvre, reprennent leur concentration quand un geste dérape. Ce n’est pas une scène parfaite. C’est mieux : c’est un moment vivant, instable, humain, où deux femmes laissent leurs envies parler plus fort que leurs certitudes, et où mes réactions deviennent le fil qui les relie. Une parenthèse à ciel ouvert, sans calcul, sans masque, juste cette pulsation partagée qui traverse les trois corps avant de retomber lentement, comme une vague qui s’essouffle.

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