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Je me branle sur le cul et la chatte de ma nana

Vidéo n°108477 ajoutée le 28/11/2025 00:00 dans masturbation, française Mature. Elle a été vue 2391 fois, dure 01:03 mns et a reçu 2 votes (80%). Ça revient d’un coup, comme un souvenir un peu granuleux, chargé de chaleur et de silence, avec cette lumière plate du matin qui tombe sur le lit sans prévenir. Ma nana est allongée sur le ventre, puis elle bouge à peine, juste assez pour que son cul prenne toute la place dans mon champ de vision. Rien de préparé, rien de “posé”. Son corps respire doucement, sa peau encore tiède, et cette tranquillité-là me traverse toujours un peu. La scène n’a rien de spectaculaire, juste ce calme étrange avant que tout s’emballe. Je m’approche sans bruit, en observant les détails qu’on oublie d’habitude : la courbe de son cul, les petites marques laissées par les draps, la façon dont sa chatte rasée capte la lumière. Ça a quelque chose d’hypnotique, presque intime, rien à voir avec une exhibition voulue. Elle ne bouge pas immédiatement, elle attend, consciente et passive à la fois, comme une salope soumise qui connaît déjà le scénario sans avoir besoin d’un mot. Et pourtant, dans cette version neutralisée, ce n’est pas une posture forcée : c’est un abandon tranquille, un geste de confiance, une manière d’ouvrir l’espace. Quand je commence ma branlette, ce n’est pas un acte brusque : c’est un mouvement lent, comme si ma main essayait de se caler sur sa respiration. Sa chatte mouillée devient un simple signe physique, une réponse discrète à ce qui flotte dans l’air. La chaleur monte doucement, pas dans les muscles mais dans le rythme, dans ce frottement régulier qui transforme la pièce en cocon serré. Son cul, immobile d’abord, se cambre un peu, juste assez pour montrer qu’elle sent, qu’elle veut, qu’elle suit. Une chienne en manque, dans les mots crus, mais ici une femme qui laisse passer ce qu’elle ressent sans en faire trop. Le moment avance comme ça, avec cette tension contenue, un peu bancale, presque fragile. Ma main accélère parfois, ralentit, reprend, comme si je cherchais la bonne distance. Et quand l’envie devient trop forte, le souffle change, le corps se crispe un peu. La grosse éjaculation n’a rien d’un effet-visuel : c’est juste un débordement, un relâchement brut qui retombe sur sa peau, sur sa chatte, en traçant des lignes chaudes qui glissent lentement. Le sperme sur sa chatte n’est plus un geste exhibé, mais une fin logique, presque douce, d’un moment vécu sans mise en scène. Et après, tout se calme d’un coup. Elle tourne la tête, mi-sourire, mi-somnolence, comme si tout ça n’était qu’une parenthèse entre deux respirations. Une scène simple, vraie, avec juste ce qu’il faut de désordre pour paraître réelle.

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