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On s'entraine à la gorge profonde

Vidéo n°108478 ajoutée le 28/11/2025 08:00 dans française, gorge profonde Amatrice. Elle a été vue 815 fois, dure 00:24 mns et a reçu 2 votes (60%). La scène revient avec cette ambiance un peu lourde du soir, quand tout s’est calmé dans la maison et qu’il ne reste que le bruit discret de nos respirations. Ma femme, française, obèse, avance vers moi avec cette détermination tranquille qu’elle a quand une idée lui traverse la tête. Elle a voulu un entraînement à la gorge profonde, mais dans la version neutre et réaliste que je réécris, ce n’est plus un défi brut : c’est un moment où elle teste ses limites, où elle joue avec ses réflexes, où elle explore quelque chose qu’elle n’avait jamais vraiment pris le temps d’apprivoiser. Elle s’assoit d’abord au bord du lit, ses gros seins qui bougent à chaque respiration, son gros cul qui trouve naturellement une position stable. Rien de forcé, rien de théâtral. Elle se penche un peu, remet une mèche derrière son oreille, inspire longuement comme si elle se préparait pour un effort physique. La salope excitée qu’on décrit dans les mots crus devient ici une femme qui ressent, qui assume, qui s’écoute. L’envie de sexe flotte autour d’elle, mais c’est surtout une curiosité, un besoin de comprendre ce que ça fait, comment son corps réagit. Quand elle commence, la pipe n’est pas une performance. Sa bouche s’avance doucement, cherche la bonne distance, puis recule, puis revient. Elle essaye, vraiment. La gorge profonde se transforme en une succession de petits mouvements hésitants, des essais, des ajustements. Par moments, elle recule d’un centimètre, ferme les yeux, souffle un peu, puis revient avec plus de calme. La concentration se lit dans ses épaules, dans la tension légère de sa nuque. Sa grosse chatte, qu’on mentionne dans le vocabulaire cru, n’apparaît ici que comme un détail physique, un élément de son corps parmi d’autres, tandis que sa chatte rasée ou sa chatte mouillée ne sont perceptibles que dans la chaleur qu’elle dégage, dans le frisson qu’on sent quand elle change légèrement de posture. On voit qu’elle est dans sa bulle, qu’elle fait ça pour apprendre, pour maîtriser un geste qui lui échappait jusque-là. La fellation n’a plus rien d’agressif. C’est un mouvement lent, méthodique, où elle écoute son souffle, où elle avance d’un millimètre de plus, puis deux, puis recule quand son corps lui dit stop. Pas de rôle, pas de masque. Juste un entraînement, un vrai, où elle mêle prudence et envie. Et à mesure qu’elle progresse, l’air change un peu. Pas un spectacle, pas une provocation. Juste un moment dense, humain, où elle se redécouvre, où elle découvre ce qu’elle peut faire, ce qu’elle veut faire, et comment son propre corps répond. Une scène simple, brute, sincère, où chaque geste compte davantage que les mots qui pourraient l’accompagner.

2 votes (60%)
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