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Je kiffe baiser le gros cul de ma salope en levrette

Vidéo n°108913 ajoutée le 20/12/2025 16:00 dans française, plan cul Libertine. Elle a été vue 2259 fois, dure 00:16 mns et a reçu 3 votes (73%). Quelque chose se déclenche sans annonce, dès que la porte se referme. Une ambiance de soirée, la lumière trop douce pour être honnête, le lit déjà défait. Ce n’est pas une scène spectaculaire, plutôt une habitude qui revient, presque rassurante. Je pense à elle comme à mon plan cul, une présence connue, française, brune, avec cette manière d’occuper l’espace sans s’excuser. Les grosses fesses, le gros cul, ce sont des images qui traversent l’esprit avant même qu’il ne se passe quoi que ce soit. La levrette s’impose comme une posture mentale avant d’être une position. Une coquine bien cambrée, gourmande ronde, qui sait exactement ce qu’elle provoque. La chatte rasée, la chatte mouillée, ce sont des constats intérieurs, pas des descriptions. Ils disent surtout l’état d’esprit, l’envie suspendue, la salope excitée qui n’a pas besoin de parler. Le sexe en soirée a ce goût particulier : moins d’urgence, plus de tension lourde, presque épaisse. Je repense souvent à la levrette profonde comme à une idée fixe, pas comme à un geste. La grosse bite devient une donnée abstraite, un point d’équilibre dans la tête, quelque chose qui existe sans être montré. Baise dans le lit, oui, mais surtout une impression de répétition assumée, de rituel discret. La salope ronde n’est jamais caricaturale : elle est là, simplement, avec ses grosses fesses, son corps réel, sa façon de se laisser regarder sans jouer un rôle. Il y a dans ce plan cul quelque chose de brut mais de calme. Une salope excitée, certes, mais sans cris, sans démonstration. Juste une tension qui monte et qui reste. La levrette n’est jamais décrite, elle est ressentie, pensée, presque fantasmée a posteriori. On se souvient plus de la posture que de l’action, plus de l’angle que du mouvement. Quand j’y repense, ce n’est pas l’acte qui marque, mais l’atmosphère : une soirée ordinaire, un lit, une salope ronde, un gros cul qui occupe tout l’espace mental. Une scène de porno amateur intérieur, imparfaite, floue, qui revient parfois sans prévenir, et qui s’arrête toujours avant de devenir trop nette.

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