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Je filme mon plan cul en missionnaire

Vidéo n°108911 ajoutée le 20/12/2025 14:00 dans française, plan cul Amatrice. Elle a été vue 6753 fois, dure 00:28 mns et a reçu 5 votes (92%). Quelque chose s’installe dès le début, sans annonce, presque comme une évidence silencieuse. La pièce est éclairée par un jour banal, un de ces moments où le temps semble suspendu. Je repense à cette scène comme à une succession d’images mentales, pas vraiment nettes, mais chargées. Le fait de filmer mon plan cul en missionnaire n’était pas une mise en scène réfléchie, plutôt une pulsion calme, une manière de figer un instant qui allait de toute façon s’échapper. Elle est française, plan cul assumé, avec cette présence pleine, une Salope ronde au regard direct. Les gros seins et la poitrine naturelle attirent l’œil sans qu’il y ait besoin d’en rajouter. La chatte rasée, la chatte mouillée, ce sont des mots qui traversent l’esprit comme des étiquettes brutes, pas comme une description détaillée. En missionnaire, la proximité impose autre chose : une tension simple, presque frontale. Je me souviens surtout de son souffle, de cette impression de salope en manque qui ne réclame rien mais accepte tout. Le POV change tout. La grosse queue devient une donnée mentale plus qu’un geste, un point de fixation abstrait. La baise intense n’est jamais décrite, elle se devine dans les silences, dans les micro-pauses, dans cette manière qu’elle a de rester là, offerte, sans posture théâtrale. brune, cheveux mi long, elle garde quelque chose de quotidien, presque rassurant, même quand le sexe en journée brouille les repères habituels. Filmer, dans ce contexte, n’est pas une preuve ni une performance. C’est une tentative maladroite de garder une trace, de se rappeler plus tard l’état d’esprit : l’envie brute, la simplicité d’un plan cul sans promesse. Missionnaire encore, parce que ça impose le face-à-face, parce que ça empêche de tricher. La salope ronde n’est jamais réduite à un rôle, elle existe dans le cadre, dans le hors-champ aussi. Quand j’y repense, ce n’est pas l’acte qui reste, mais l’atmosphère. Une baise intense, oui, mais surtout un moment suspendu, un fragment de porno amateur mental, flou, imparfait. Rien de spectaculaire. Juste une scène qui se répète dans la tête, différemment à chaque fois, sans jamais se fermer complètement.

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