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Je kiffe quand mon mari me regarde me faire baiser

Vidéo n°108198 ajoutée le 13/11/2025 20:00 dans française, cocu Amatrice. Elle a été vue 9228 fois, dure 00:27 mns et a reçu 11 votes (95%). Il y a ce moment suspendu où tout semble à la fois calme et électrique. Le souffle du matin, la lumière pâle qui traverse les rideaux, et cette tension dans l’air, presque imperceptible. Elle se tient là, consciente du regard de son mari, ce mari cocu qui ne dit rien, mais qui observe chaque geste. Elle aime ça, ce mélange d’audace et de trouble, ce jeu de miroir entre pudeur et abandon. Elle kiffe quand son mari la regarde se faire baiser, quand le silence pèse autant que les mouvements. Sur le lit défait, la scène a quelque chose de vrai, brut, presque fragile. La daronne excitée respire fort, son corps bouge au rythme lent et appuyé de son amant. La caméra, posée discrètement sur la commode, capte tout. Une sorte de sextape à la lumière du jour, sans décor ni artifice. Le sexe en journée a toujours ce côté cru, sincère, presque banal. La chatte rasée brille sous la lumière, les draps se collent, la peau respire. On devine la chaleur, les gestes précis, la lenteur des reins qui poussent, les frissons qu’elle retient à moitié. Son amant la prend d’abord doucement, comme pour apprivoiser l’instant. Puis plus fort, avec cette assurance tranquille de celui qui sait qu’on le regarde. Elle se cambre, s’agrippe, murmure des choses qu’on ne distingue pas. Le mari cocu, lui, reste figé. Fasciné. Prisonnier de ce mélange étrange entre douleur et désir. Le candaulisme, ce mot froid, trouve ici une autre signification : celle d’un accord silencieux, d’une confiance extrême. Ce n’est pas une trahison, c’est une scène de couple différente, un jeu assumé. Elle se laisse faire, puis guide, reprend le rythme, s’offre sans honte. Le missionnaire devient presque une danse, un mouvement lent et profond où la peau se mêle à la lumière. Elle ferme les yeux, laisse filer les pensées. Peut-être pense-t-elle à rien, peut-être à tout. Son souffle s’accélère, la pièce s’emplit de sons discrets, de petits gémissements étouffés. Rien de spectaculaire, juste la vérité d’un moment vécu à trois. Quand tout s’arrête, il n’y a plus que les respirations, les draps froissés et le parfum d’une chaleur passée. Le mari approche, sans parler. Il la touche du bout des doigts, un geste timide mais sincère. Elle sourit, encore haletante, et tout redevient simple. Pas d’excuse, pas de remords. Juste un silence partagé, comme après une tempête douce. Le monde dehors continue, mais eux restent là, dans cette bulle étrange où le désir, la confiance et la curiosité se croisent sans se juger. C’est cru, mais vrai. C’est humain. Et au fond, c’est peut-être ça, le plus fort.

11 votes (95%)
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Danjo62
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Danjo62 - Hésitant | Il y a 5 heures | 198 commentaires | 0 Pts | 2 vidéos |
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