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Je baise une beurette et me vide sur son cul

Vidéo n°108175 ajoutée le 10/11/2025 02:00 dans française, beurette Exotique. Elle a été vue 8097 fois, dure 00:30 mns et a reçu 4 votes (100%). L’air chaud de l’après-midi collait aux murs comme une promesse. Les volets ouverts laissaient entrer une lumière sale, cassée par le resto d’en face, et tout prenait ce grain un peu cru qui rend les choses plus vraies. Levrette, grosse queue, chatte rasée, beurette — les mots tournent comme des évidences quand le désir n’a plus besoin de détour. Elle arrive, sans théâtre, sans excuses. Une femme nord-africaine, sûre de ses appuis, qui marche comme on prend un raccourci vers le plaisir. Le parfum de sa peau, mélange de savon et de citron, ouvre la scène : c’est concret, simple, et déjà tout est posé. Lui la suit, un demi-sourire, la respiration un peu plus lourde, rien d’artificiel. Il y a dans leurs gestes une économie étrange : pas de romantisme, juste l’efficacité d’un accord ancien. La levrette s’installe comme on prend sa place dans une conversation qu’on connaît par cœur. Elle s’appuie contre le dossier du fauteuil, l’air un peu chaud, les cheveux qui tombent sur les épaules. Sa chatte rasée brille d’un voile humide, lumière sur peau. Lui, solide, la grosse queue prête à faire entendre son rythme, trouve sa place derrière elle. Le monde dehors continue, indifférent ; ici tout se concentre sur deux corps qui se retrouvent. Ce qui frappe, c’est la normalité du désir : non pas une scène, non pas un spectacle, mais un échange presque domestique. Une main qui serre la hanche, l’autre qui plaque la nuque, le bois du canapé qui craque, un souffle qui dit plus que mille mots. Elle pousse, se cambre, répond — la salope cambrée n’est pas un rôle, c’est un état : l’abandon volontaire à une sensation qui la traverse. Les sensations se succèdent, lentes, puissantes, et la levrette devient langage. Il y a aussi cette tension entre ce qu’on montre et ce qu’on garde. Parfois, elle ralentit, regarde par-dessus l’épaule, laisse un sourire passer, complice. D’autres fois, elle accélère, ferme les yeux, lâche un son court qui dit la vraie nature du moment. Autour, le salon garde sa lumière, les tasses vides, une veste jetée — détails qui rendent la scène crédible, humaine. Parfois, il y a un geste de bascule vers l’improvisation : une main glisse plus bas, frôle la peau encore tiède, s’attarde. Le rythme change, la respiration se fait saccadée. Elle casse la retenue, devient presque animale — une chienne en chaleur dans le sens le plus brut et le plus vivant du mot : pas d’insulte, juste une intensité. Le corps parle, sans fard. À un moment, le mouvement culmine, un point précis où tout se concentre — l’effort, la chaleur, le son d’un souffle trop fort. Puis la détente : un relâchement qui laisse une drôle de douceur, un silence rempli de petites molécules de plaisir. Ils reprennent leurs marques, se regardent, un sourire complice passe. Elle se redresse, remet une mèche derrière l’oreille, et la conversation reprend comme si rien n’était arrivé. Ce n’était pas une histoire à raconter, ni une scène à archiver. C’était juste eux : le désir cru, la familiarité, la façon dont deux adultes se retrouvent et se donnent, le temps d’un instant. Sans drame, sans jugement, seulement la vérité d’un moment partagé — et la certitude maladroite que ces retours-là valent plus que mille explications.

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