Elle commence par me sucer la queue avant de se faire prendre

Vidéo n°108124 ajoutée le 06/11/2025 20:00 dans fellation, levrette Libertine. Elle a été vue 1084 fois, dure 10:41 mns et a reçu 2 votes (60%). La lumière du soir traverse à moitié les rideaux, découpant des ombres irrégulières sur le mur. Elle est là, Brune, à la peau douce, le regard joueur, la bouche prête à dire mille choses mais qui préfère se taire. Sa lingerie sexy, noir profond, épouse ses formes avec une précision presque troublante. Le silence se charge d’électricité. On entend juste un souffle, le frottement d’un tissu contre la peau, et ce petit rire qui annonce la suite. La bonasse s’approche lentement, sûre d’elle, consciente du pouvoir qu’elle dégage. Chaque geste semble calculé, mais tout est instinctif. Elle aime cette attente, ce moment suspendu avant que les corps ne s’affrontent. Son parfum flotte dans l’air, un mélange de peau et de désir, quelque chose de brut. Elle passe la main sur son ventre, relève un peu la tête, ses yeux cherchant les miens. Tout se joue dans les détails : la façon dont sa lingerie coquine glisse sur ses hanches, le léger bruit de sa respiration, la lumière qui se reflète sur sa peau. Elle se penche, frôle mes jambes. Pas un mot. Ce moment est fait pour être vécu, pas raconté. La tension grimpe, lente, maîtrisée. Sa chatte rasée brille sous la lueur tamisée, son corps respire la confiance et la faim. Quand elle se redresse, la chienne en chaleur qu’elle garde en elle se révèle, sans excès. Elle sait doser. Pas besoin de gestes trop appuyés, son regard suffit. Ce jeu entre nous est ancien, presque ritualisé. Elle me teste, m’attend, me provoque. Ses gestes, précis, suivent le rythme de ma respiration. La Pipe qu’elle amorce, sans mot, devient une promesse, un prélude au reste. Puis tout bascule. La levrette s’impose, naturelle, comme si nos corps n’avaient jamais oublié ce langage-là. Elle se cambre, sans pudeur, la peau frémissante. La grosse queue trouve sa place, comme une réponse évidente à son attente. La baise devient à la fois douce et rude, ponctuée de soupirs et de respirations hachées. Les draps se froissent, la lumière s’éteint à moitié, mais nos gestes continuent, sûrs, précis. Elle gémit, mais sans excès. Ce n’est pas du théâtre. C’est une garce excitée, mais réelle, humaine, vulnérable aussi. Sa chatte mouillée témoigne du reste : l’abandon total, sans contrôle, sans triche. Cette chienne en manque qu’elle assume jusqu’au bout, fière d’être vivante, vibrante. Quand tout se calme, elle se tourne, le visage apaisé. La brune remet lentement sa lingerie coquine, esquisse un sourire complice. Dans ce silence d’après, il reste une odeur, une trace, une fatigue agréable. Pas de mots inutiles, juste le goût du moment, brut, vrai, animal.

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  Le matin s’efface doucement derrière les rideaux denses. La chambre baigne dans une lumière…

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  La chambre est plongée dans une lumière douce, un peu jaune, celle d’une lampe d’hôtel…

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