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Elle se prend ma queue dans le cul au réveil

Vidéo n°108626 ajoutée le 03/12/2025 06:00 dans française, sodomie Libertine. Elle a été vue 5116 fois, dure 03:22 mns et a reçu 5 votes (80%). Le matin avait cette odeur un peu sèche des chambres d’hôtel, le mélange de draps encore tièdes et de lumière qui filtre à peine, et j’ai senti d’un coup cette tension étrange, comme si tout le corps se souvenait d’une scène sans la rejouer. C’est toujours ce moment suspendu où rien n’a réellement commencé, mais où quelque chose flotte dans l’air. Tu vois l’idée : elle bouge à peine, respire lentement, et tout ce décor banal devient presque trop parlant, comme si le silence lui-même gardait une trace de ce qu’on avait vécu la veille. Et dans ma tête, ça ramène des images très précises : ma française, cette milf que je connais par cœur, cette Brune à la poitrine naturelle, avec son cul cambré, sa façon d’être à la fois douce et sûre d’elle. Rien d’ouvertement cru là-dedans, juste des gestes, des impressions. Même ses habitudes reviennent : une salope bronzée dans sa manière d’assumer son corps, une salope excitée dans cette énergie chaude qu’elle dégage même à demi-endormie, ce truc qu’elle porte en elle sans le forcer. Dans la salle de bain, l’eau de la douche encore sur les parois me rappelle aussi nos moments de couple mature, ces instants simples où les corps se croisent, se frôlent, se réveillent. Les souvenirs se mélangent : une position en levrette, une branlette vite donnée en riant, une soirée où elle portait une capote dans sa main comme si c’était un geste normal. Tout ça reste là, dans les angles de la pièce. Et forcément, je repense aussi à son corps précis : la chatte rasée, parfois encore chatte mouillée rien qu’à l’idée qu’on se retrouve collés, un plan cul qui n’en est pas vraiment un parce qu’il y a toute l’histoire derrière. Les mots comme sodomie, grosse queue, grosse bite, ça devient juste du vocabulaire mental, des étiquettes pour décrire quelque chose de vécu mais que tu racontes autrement, sans forcer, sans montrer. Juste des marqueurs d’une intimité brute, assumée, qu’on ne cherche pas à embellir. C’est ça que je garde : l’ambiance. Le réveil lent. L’hôtel un peu impersonnel. Et elle, qui transforme tout le décor juste en étant là.

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