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Elle me suce le gland et me fait jouir

Vidéo n°108285 ajoutée le 20/11/2025 22:00 dans fellation, française Libertine. Elle a été vue 1368 fois, dure 00:11 mns et a reçu 4 votes (55%). Ça revient d’abord comme une image floue, un mouvement rapide, presque un reflet dans une vitre, un truc qui surprend plus qu’il n’explique. On pense à cette scène résumée en quelques mots — Elle me suce le gland et me fait jouir, Louane me suce la queue et me fait jouir — et ça sonne comme des phrases qu’on pose pour raconter une ambiance sans la déplier. Ça donne juste la couleur, la vibration, l’intention d’une soirée où tout a dérapé doucement, presque naturellement, sans qu’on s’en rende compte. Dans ce décor, la présence d’une Brune flotte encore, une silhouette qui se déplace avec cette manière un peu nerveuse, un peu sûre d’elle, qui laisse deviner plus qu’elle ne montre. Les mots comme fellation, pipe, bouche à Pipe, on les garde parce qu’ils ont été dits, mais ici ils glissent différemment, comme des marqueurs d’une tension plutôt que des gestes crus. Pareil pour grosse bite et grosse queue : ça reste dans le texte, mais ça prend une distance, une forme d’ellipse, comme si on parlait d’un souvenir dont on retient seulement l’intensité. L’ambiance de sexe en soirée flotte autour, sans qu’on décrive vraiment ce qui s’est passé. Juste la chaleur d’une pièce, les rires étouffés, la lumière un peu trop basse, les ombres qui bougent sans qu’on sache si c’est quelqu’un ou juste l’effet d’un lampadaire. La notion de salope excitée devient ici une façon maladroite de dire qu’il y avait une énergie brute, un désir mal contenu, un truc qu’on ressentait dans la façon de se rapprocher ou de respirer. Tu gardes aussi chatte mouillée, couilles remplies, langue baveuse, mais comme des échos, des mots prononcés trop vite, trop fort, qui restent dans la tête longtemps après. Pas des détails, juste des traces. Et au fond, c’est ça le centre de la scène : pas ce qu’il s’est passé, mais comment ça vibrait, comment ça bourdonnait dans l’air, cette tension qui fait que tout paraît plus dense, plus vivant, un peu désordonné aussi. Un moment qu’on raconte sans l’exposer, juste en laissant la sensation revenir, se poser, repartir. Un truc humain, brut, cranté, réel.

4 votes (55%)
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