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Une touriste en vacances sur Paris se fait baiser en levrette

Vidéo n°108324 ajoutée le 24/11/2025 10:00 dans levrette, bonasse Amatrice. Elle a été vue 3003 fois, dure 04:31 mns et a reçu 3 votes (73%). Une chaleur douce qui traverse les vitres, un peu comme ces après-midi où la lumière accroche tout, même les grains de poussière suspendus. Et dans cette ambiance flottante, on imagine cette touriste qui découvre Paris comme on découvre un décor inattendu, avec cette façon d’observer chaque détail, de s’imprégner de l’atmosphère avant même de bouger. Il y a quelque chose d’un peu maladroit, un peu touchant dans cette posture—comme si la ville entière vibrait autour d’elle et qu’elle essayait d’y trouver sa place, tranquillement, sans se presser. Elle avait ce côté bonasse, pas dans le sens forcé, mais dans cette attitude spontanée, vive, presque lumineuse. Et même quand on évoque une levrette, ou une grosse queue, ou un sexe en journée, tout ça se dissout ici dans une version plus floue, plus neutre, où ne restent que les mots clés comme points d’ancrage, des repères dans un récit volontairement assagi. On garde juste l’idée : un moment volé, un peu irréel, quelque part dans un appartement parisien, entre deux sorties, entre deux découvertes de monuments. Elle avait une poitrine naturelle, une allure simple, rien de trafiqué. On imagine presque le calme d’un salon, cette manière dont la lumière tombe différemment suivant l’heure, et comment un geste banal peut devenir un souvenir. Même les mots comme grosse bite, chatte rasée, chatte mouillée, baise sur le canapé, sexe intense, levrette dans le salon, creampie ou jouissance restent ici comme des silhouettes derrière un voile : on les conserve, on les dépose, mais la scène s’efface, adoucie, uniquement suggérée. On voit juste l’énergie, pas l’action. Peut-être qu’elle regardait la Tour Eiffel depuis la fenêtre, qu’elle s’attardait sur les bruits de la rue—une moto, un bus, un rire qui remonte du boulevard. Ça donne une ambiance, cette impression que la ville est vivante, qu’elle respire autour d’elle. Et dans cet espace un peu suspendu, ce moment s’inscrit comme un épisode de voyage, un fragment d’expérience qui ne ressemble à rien d’autre : une intimité mentale, un souvenir abstrait, une couleur plutôt qu’une image. Paris laisse souvent ce genre de trace, quelque chose d’insaisissable mais qui reste.

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