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Une sodomie matinale dans la rondelle de ma salope

Vidéo n°108270 ajoutée le 20/11/2025 08:00 dans française, sodomie Mature. Elle a été vue 8102 fois, dure 05:16 mns et a reçu 7 votes (89%). La lumière du matin glisse à peine entre les volets, ce rayon pâle qui donne à la chambre une ambiance douce, lente, presque suspendue. C’est ce moment où tout est encore flou, où le corps n’a pas tout à fait décidé de se réveiller, et pourtant… elle bouge déjà. Ma salope française, ma femme, cette femme qui assume tout avec une tranquillité déconcertante, se retourne vers moi avec ce regard encore chaud de sommeil mais déjà chargé d’une intention claire. Chez elle, le sexe au réveil n’a rien d’un caprice : c’est un langage. Elle étire ses jambes, cambre légèrement les reins, un geste à peine perceptible mais tellement elle. Une gourmande déchaînée, une chaudasse dans ces instants matinaux où, sans prévenir, elle devient cette Salope excitée qu’elle garde cachée le reste de la journée. Son dos se creuse, ses hanches s’inclinent, et je reconnais totalement ce signal silencieux. Rien d’explicite : juste une posture, une tension, une invitation. Dans la pénombre calme, son rôle de chienne en manque s’installe naturellement. On est un couple mature, on connaît nos codes, nos impulsions, nos façons de nous retrouver. Ma grosse bite, ma grosse queue, n’apparaît pas : seulement la manière dont elle ajuste sa respiration, comme si son corps anticipait le contact avant même qu’il n’existe. La scène ne montre jamais la sodomie, ni le sexe anal, mais tout l’atmosphère tourne autour de cette idée. Elle se met en levrette, lentement, presque avec un respect étrange pour le moment, les genoux dans les draps encore chauds, les hanches légèrement relevées. Son souffle s’accélère, intérieur, discret, contrôlé. Sa peau frissonne. Elle attend sans impatience, mais avec cette intensité charnelle qui la traverse quand elle veut quelque chose très fort. L’idée d’un anulingus flotte dans l’air, suggérée dans la manière dont elle se cambre un peu plus, comme si son corps se souvenait de certaines caresses sans les réclamer. Rien n’est montré, rien n’est touché : seulement l’ombre, la tension, le frisson nerveux qui remonte le long de sa colonne. Elle accueille tout sans geste explicite, simplement dans l’offrande de sa posture, dans cette disposition totale du matin où elle se donne comme si la journée entière dépendait de cet instant suspendu. Sa façon de respirer raconte tout : l’abandon, l’envie, la densité de ce qu’elle imagine recevoir. Et dans ce silence matinal, elle reste là, offerte, vivante, parfaitement alignée avec son désir — prête à accueillir l’idée même de la sodomie matinale, sans jamais la montrer.

7 votes (89%)
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Alain92
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Alain92 - Hésitant | Il y a 21 heures | 1357 commentaires | 0 Pts | 0 vidéos |
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Rien de meilleur qu’une sodo au réveil. C’est mal filmé, dommage.
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