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Un gode et ma queue pour mon plan cul

Vidéo n°108118 ajoutée le 05/11/2025 18:00 dans française, plan cul Mature. Elle a été vue 2753 fois, dure 03:09 mns et a reçu 5 votes (92%). Sous ses doigts, la chaleur devient presque brûlante. Le gode glisse lentement, d’abord pour jouer, pour préparer, pour éveiller. Elle ferme les yeux, respire court, cherche le rythme. Le souffle change, un petit rire nerveux échappe, puis ses hanches bougent toutes seules. Le silence autour ne tient plus longtemps, il se remplit de gémissements étouffés et de la moiteur du lit. La scène a ce goût de sexe amateur, brut et sans artifice, juste deux corps qui se reconnaissent. Son gode, c’est la première étape, le signal. Elle aime sentir qu’on la regarde pendant qu’elle se chauffe, qu’on attend juste derrière, prêt à la suivre. La lumière de la lampe découpe ses formes rondes, ses gros seins qui tremblent à chaque mouvement. Elle a cette manière de se cambrer comme pour provoquer, et ses cheveux courts collent un peu à son front. Ce soir, elle a ce truc dans le regard — mélange de faim et de défi. Quand il s’approche enfin, elle ne recule pas. Elle garde le gode un instant, juste pour le plaisir de sentir les deux poids, deux chaleurs différentes. Sa main glisse, elle l’ôte lentement, comme si chaque seconde comptait. Et puis, il y a le contact. Sa queue qui prend la place, sans attendre. La différence de sensation lui arrache un gémissement brut, un vrai, qui casse dans la gorge. Le bruit de la peau claque, le lit grince, la pièce respire en rythme. Ils se connaissent trop bien pour parler. Elle sait comment il aime la voir, lui sait quand elle bascule dans cette zone où tout explose. Le mélange de sueur et de peau, les draps qui collent, le souffle qui se mêle — tout se confond. La scène devient presque floue, entre les ombres et les éclats de lumière. Et quand c’est fini, il reste ce calme étrange, ce silence doux où tout semble encore vibrer un peu. Dans ce moment suspendu, il n’y a ni rôle ni posture. Juste deux corps épuisés, unis par cette vérité simple : le désir cru, vivant, sans détour, sans fard.

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