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Je me fais cracher sur les seins

Vidéo n°108110 ajoutée le 05/11/2025 10:00 dans française, gros seins Libertine. Elle a été vue 1755 fois, dure 01:28 mns et a reçu 8 votes (98%). La lumière du jour traverse à peine les rideaux, donnant à la pièce cette clarté douce d’un après-midi tranquille. Le lit est en désordre, couvert de draps froissés et d’oreillers déplacés. On entend à peine un souffle, un soupir, le bruit léger d’un corps qui bouge. La caméra, posée sur la commode, filme sans cadrage précis : juste deux corps, un couple mature, à bout de souffle, encore pris dans l’élan de leur plaisir. Elle est allongée, la peau moite, les joues rosées, ses gros seins se soulevant à chaque respiration. Sa poitrine naturelle capte la lumière, et on voit les traces de ce moment de sexe amateur brut. Il se penche au-dessus d’elle, missionnaire maladroit mais sincère, leurs ventres qui se frôlent, les draps qui collent. Sa main glisse sur sa hanche, puis sur son ventre. Le geste devient plus pressé, plus urgent. Sa chatte poilue, humide, témoigne du reste : la tension, la chaleur, la fatigue du plaisir partagé. Elle ferme les yeux, la bouche entrouverte, la salope excitée qu’elle devient à chaque fois qu’il la touche. Il s’écarte à peine, respire fort, grogne presque. Et soudain, ce moment suspendu : il crache son jus chaud sur ses seins, lentement, sans mot. Le liquide glisse sur sa peau, brille un instant avant de couler entre ses formes. Elle rit un peu, haletante, une main sur son ventre, l’autre sur sa gorge. Sa peau frissonne. Elle le regarde, encore gourmande en feu, l’air de dire qu’elle n’en a pas eu assez. Il sourit, passe une main sur sa poitrine, étale doucement ce mélange de sueur et de plaisir. La scène n’a rien de vulgaire : juste cette sincérité crue des couples qui s’aiment sans calcul, qui n’ont plus peur d’être vus. Ils restent là un moment, collés, silencieux. La chienne en manque se détend enfin, son souffle se calme. Dehors, la lumière continue de glisser sur les murs. Il se lève, éteint la caméra, puis revient s’allonger à côté d’elle. La journée peut reprendre, comme si rien n’avait existé, sauf cette trace chaude sur sa peau.

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