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Ma femme adore sucer des inconnus

Vidéo n°107561 ajoutée le 09/10/2025 02:00 dans fellation, française Mature. Elle a été vue 5911 fois, dure 00:42 mns et a reçu 6 votes (80%). La lumière de la chambre d’hôtel est tamisée, dorée, presque trop douce pour ce qu’on s’apprête à faire. Elle se recoiffe devant le miroir, la bouche rouge, le regard qui brille. Ma femme, quadragénaire blonde, belle encore, Salope mature et sûre d’elle. Elle sait que je regarde, caméra à la main. Elle aime ça. Le type est déjà là, assis sur le bord du lit. Inconnu total. L’air nerveux, mais excité. Elle s’avance vers lui lentement, gestes calculés, presque tendres. “Détends-toi,” dit-elle d’une voix calme, gourmande. Ses doigts glissent sur sa cuisse, puis sur son ventre. Je filme tout. Le bruit du tissu, de la respiration, du lit qui craque. Elle se penche, caresse, explore. Ses mains fines bougent avec précision. On sent la chaleur, la tension. Son regard passe de lui à moi, complice, provocant. Coquine excitée, vieille gourmande qui prend son temps. Elle joue, rit doucement, effleure, recommence. Ses cheveux glissent sur son épaule, son dos se cambre. La scène devient presque silencieuse. Juste les souffles qui se croisent, le bruit humide, la peau qui chauffe. Elle ferme les yeux, gémis à peine, comme si elle se laissait happer par le moment. Ses mains sur sa propre cuisse, un frisson qui la traverse. Je la connais par cœur : sa façon de respirer quand elle perd le contrôle, son petit sourire quand elle sait que je filme. Elle s’interrompt un instant, relève la tête, me fixe droit dans les yeux. “Tu filmes encore ?” souffle-t-elle. Je hoche la tête. Elle rit, s’essuie la lèvre du bout des doigts, puis replonge dans sa folie. On dirait une autre femme, déchaînée, libre, chienne en manque assumée. Le type gémit, serre les draps. L’air est lourd, moite. Elle se redresse lentement, caresse sa joue, puis son propre ventre. Elle ferme les yeux, main entre les cuisses, caresse lente, sensuelle. L’image tremble, la caméra glisse un peu. Je respire fort, incapable de détourner le regard. Elle se rallonge doucement, poitrine naturelle encore agitée, peau brillante. “T’aimes regarder, hein ?” souffle-t-elle, à moitié essoufflée. Je souris, incapable de parler. Le lit est en désordre, la moquette sent le vin et le parfum. Une trace de rouge à lèvres sur le drap, une scène qu’on ne reverra jamais pareille. Juste une femme qui vit, un mari qui regarde, et une chaleur qui colle encore à nos peaux.

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