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Ma chatte serrée s'enfonce sur mon gode

Vidéo n°107961 ajoutée le 25/12/2025 16:00 dans française, gode Solo. Elle a été vue 1042 fois, dure 00:54 mns et a reçu 3 votes (73%). La soirée s’était déposée doucement sur la chambre, cette lumière tamisée qui fait glisser les ombres contre les murs. J’étais seule, une milf dans son propre espace, avec cette énergie discrète de fin de journée où tout ralentit. L’air avait cette odeur de draps chauds et de peau encore tiède. Je me suis assise au bord du lit, un peu nerveuse, un peu trop vivante, comme une coquine excitée qui sait déjà où tout ça va la mener. Le gode ventouse était là, posé contre le bois clair du parquet. Rien d’extraordinaire, juste un objet familier, simple, mais qui prend un autre sens quand on est seule. Je l’ai touché du bout des doigts, pour sentir la matière, la froideur qui attend de chauffer contre la peau. Le sexe en soirée a toujours ce goût particulier, ce mélange de calme et de tension intérieure. Je me suis allongée lentement, la jupe glissant jusqu’à mes genoux. Mes mains ont écarté mes cuisses presque toutes seules, un réflexe que je ne contrôle même plus. Ma chatte rasée était déjà réactive, sensible, comme si mon corps devançait mes gestes. Une chaleur douce, presque embarrassante, montait entre mes jambes. Je l’ai sentie devenir une vraie chatte mouillée, juste par anticipation. J’ai fixé le gode ventouse au sol, un clic presque inaudible, et il s’est tenu droit, immobile, prêt. Il y avait dans ce geste quelque chose de l’exhibition, même seule : une façon de me montrer à moi-même ce que je veux, ce que j’accepte. Je me suis mise à quatre pattes, lentement, avec cette hésitation d’avant la première touche. Quand ma chatte serrée s’est approchée, quand j’ai senti la pointe du gode frôler l’entrée, un frisson m’a traversée tout entière. Je me suis enfoncée d’un centimètre, puis deux, un mouvement lent, presque solennel. La sensation m’a coupé le souffle, une montée de chaleur, un plaisir solitaire qui prend son temps. Chaque poussée me rapprochait du sol, de mon propre rythme. La chambre était silencieuse, juste le frottement régulier, discret, entre ma peau et la matière. Je m’enfonçais, encore, un peu plus profond, comme si je cherchais à disparaître dans cette sensation précise. Une scène intime, simple, mais lourde de vérité.

3 votes (73%)
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Matte
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Matte - Hésitant | Il y a 5 heures | 11 commentaires | 0 Pts | 0 vidéos |
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Coucou ont se connais mis
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