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Une rouquine garde ses lunettes pour sucer un collègue travail

Vidéo n°107959 ajoutée le 25/12/2025 08:00 dans fellation, française Mature. Elle a été vue 1016 fois, dure 02:32 mns et a reçu 2 votes (70%). Elle est entrée dans la pièce comme si rien n’était prévu, cette rouquine avec sa façon tranquille de déplacer une mèche derrière ses lunette, ce petit geste qui dit qu’elle observe tout avant d’agir. L’ambiance du bureau était encore chargée de la journée, dossiers ouverts, lumière blanche trop forte, ce calme particulier du travail quand tout le monde est parti. Et pourtant, dans son regard, il y avait une tension différente, une sorte d’envie de sexe qui ne disait pas son nom mais qui traversait la pièce d’une manière impossible à ignorer. Le collègue était déjà là, accoudé à une table, l’air un peu perdu dans ses pensées. Elle, rouquine, avance lentement, presque en diagonale, avec une précision qui n’a rien de calculé. On devine la salope excitée derrière la façade professionnelle, ce mélange de timidité sociale et de pulsion contenue. Sa posture change imperceptiblement : les épaules se relâchent, les hanches s’ajustent, le regard se fixe. Pas de drame, pas de geste brusque. Juste une femme qui sait très bien ce qu’elle est venue chercher. Elle garde ses lunettes, non pas comme un accessoire, mais comme une part d’elle. Cela lui donne une forme d’assurance étrange, une autorité douce qui transforme le moment. Elle s’approche du collègue avec une lenteur volontaire, une sorte de chorégraphie involontaire où chaque pas raconte quelque chose. On sent la chienne en manque quelque part sous la surface, mais rien ne déborde. Tout se passe dans les détails : la manière dont elle humecte ses lèvres, dont sa main glisse sur le bord d’un dossier, dont elle incline légèrement la tête comme pour mieux capter la lumière. Le collègue réagit, un peu surpris, un peu figé. Elle, au contraire, prend un rythme plus sûr, comme si l’atmosphère du sexe au travail l’aidait à se libérer d’un poids. Son regard descend, sans précipitation, vers ce qu’elle imagine déjà : une grosse bite, peut-être une bite veineuse qu’elle n’a pas encore touchée mais qu’elle visualise dans un coin de sa tête. Dans cette anticipation, elle adopte la posture discrète d’une excellente suceuse, non pas dans l’acte, mais dans la manière d’habiter l’instant. La bouche à pipe n’est pas décrite, seulement suggérée dans la façon dont elle respire, dans sa proximité, dans l’alchimie étrange qui se crée à deux. Le bureau devient décor secondaire, témoin silencieux d’un moment où l’excitation se joue dans le regard, le souffle, les micro-gestes qui trahissent l’envie. Et au final, ce qui reste, c’est cette image d’une rouquine à lunette, sûre d’elle, un peu trop vivante pour l’environnement où elle se trouve, portée par une pulsation qui dépasse le cadre du travail et transforme tout en scène suspendue.

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