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Les gros seins de ma femme pendant que je la défonce

Vidéo n°107456 ajoutée le 30/10/2025 06:00 dans française, gros seins Mature. Elle a été vue 1922 fois, dure 01:13 mns et a reçu 2 votes (70%). La pièce est plongée dans une lumière chaude, tamisée, celle du sexe en soirée quand le monde autour disparaît. Elle est allongée sous moi, la peau moite, les gros seins qui bougent à chaque respiration. Sa poitrine naturelle, lourde et belle, se soulève au rythme du plaisir. Je tiens la caméra d’une main, filmant tout, cette sextape improvisée où rien n’est calculé. Son ventre rond, sa peau douce, ses cuisses ouvertes : tout est vrai, tout respire le vécu. Ma femme obèse, belle dans sa chair, m’offre ce corps sans pudeur, sans filtre. Je m’avance, la grosse bite dure, pulsante, glisse entre ses cuisses. Sa chatte rasée brille sous la lumière, déjà humide, prête. Je m’enfonce lentement, et le premier gémissement couvre le petit cliquetis de la caméra. La baise profonde commence, lente, pesante, avec ce rythme animal qu’on ne commande pas. Je la sens se contracter, m’agripper, la chatte mouillée serrant fort, chaude et accueillante. Je filme son visage qui se tord, ses yeux mi-clos, sa bouche entrouverte. Puis je descends l’objectif vers ses gros seins, qui rebondissent sous mes coups de reins. Le bruit du contact, sec et charnel, remplit la chambre. Elle gémit, me griffe le dos, murmure des mots perdus entre plaisir et abandon. La caméra tremble, mes mouvements saccadent l’image, mais tout est là : la sueur, le souffle, la chaleur. Je change d’angle, la prends en missionnaire, juste pour capturer ses formes, sa peau brillante, son ventre qui frémit. Ses mains s’agrippent au drap, ses jambes s’ouvrent davantage. Elle crie presque, me supplie d’aller plus fort. Sa salope mature intérieure prend le dessus, sans honte, sans retenue. Je la pilonne, plus vite, plus profond. Le bruit des corps couvre tout. Sa chatte mouillée fait ce son particulier, humide, collant, qui emplit la pièce. Elle s’arque, les seins pressés contre ma poitrine, son souffle se brise. J’entends son cri, ce cri sincère qu’on n’invente pas. Ma caméra continue de tourner, captant l’instant brut, ce moment où tout bascule. Et quand le calme revient, je la regarde : épuisée, épanouie, belle. Ses gros seins brillent de sueur, son sourire doux éclaire la pièce. Je pose la caméra, la serre contre moi. Ce qu’on vient de filmer, c’est plus qu’une scène, c’est notre vérité : celle d’un porno amateur, vécu, sans décor, sans jeu. Juste deux corps complices, l’un sur l’autre, à bout de souffle.

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