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Je lui démonte la chatte devant le miroir

Vidéo n°108612 ajoutée le 04/12/2025 00:00 dans française, levrette Libertine. Elle a été vue 501 fois, dure 00:33 mns et a reçu 2 votes (60%). La lumière frappait le miroir en plein après-midi, cette lumière plate et franche du sexe en journée qui ne laisse rien tricher. Ça faisait briller la glace, et tout autour, l’air semblait un peu plus chaud, un peu plus dense. Elle était là, ma française, la Brune que je connais par cœur, avec cette manière de se poser sans réfléchir, le corps déjà dans une attitude qui disait clairement ce qui vibrait en elle. Une salope allongée, mais dans le sens cru et vrai : une femme qui ne maquille pas son désir, qui laisse son énergie s’installer dans la pièce comme un poids doux. Quand elle se tourne, que je vois son reflet, il y a ce moment bizarre où tout devient double : son dos, sa respiration, l’ombre de son ventre, et surtout cette chatte rasée, nette, précise, mise en valeur par la lumière. On voit aussi l’autre détail, celui qui raconte tout : la chatte mouillée, ce scintillement involontaire qui trahit la tension avant même qu’elle ne parle. Dans ses yeux, je retrouve cette coquine excitée, cette petite chaudasse qui ne joue pas, qui ne joue plus, qui se laisse traverser par ce qu’elle ressent. Je me place derrière elle, et le mot levrette flotte dans ma tête comme un repère, une position qui lui va presque trop bien. Son corps se plie, son souffle change, son ventre touche presque le matelas, et dans le miroir tout ça se reflète avec une intensité étrange, comme si la scène se rejouait en boucle. Ma grosse queue devient juste un poids, un rythme, un repère que son corps accueille sans chercher à retenir quoi que ce soit. La baise profonde, ce n’est pas un geste brutal : c’est une manière d’entrer dans son espace, dans sa tension, dans ce moment où elle lâche prise totalement. Elle a un frémissement, un battement plus fort dans la gorge, une manière de remonter légèrement les hanches quand elle sent que tout monte trop vite. Et dans le miroir, son visage dit tout : le mélange de contrôle et d’abandon, cette impatience fine qui montre une femme au bord de la jouissance, une femme qui vit l’instant sans filtre. Et quelque part dans l’arrière-plan, l’idée de la sextape flotte, non pas comme un acte mécanique, mais comme ce désir de garder une trace, de figer un moment où tout est vivant, vibrant, trop réel pour être oublié.

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