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Je pose la caméra sous la chatte de ma femme et la baise

Vidéo n°108610 ajoutée le 03/12/2025 16:00 dans française, levrette Libertine. Elle a été vue 187 fois, dure 00:50 mns et a reçu 1 vote (100%). La lumière tombait en biais sur le carrelage, cette clarté blanche des débuts d’après-midi qui rend tout un peu trop réel, et j’ai senti d’emblée cette tension familière dans l’air. Le genre de moment où rien n’a vraiment commencé, mais où tu sens que tout est déjà en route. Ma française, cette milf que je connais par cœur, avançait dans la pièce avec ce calme chargé, presque trop parlant. Sa manière de marcher, de respirer, de se placer, raconte plus qu’un discours entier. Elle a posé ses mains sur le bord du lit, en silence, et son corps a pris cette courbe précise, cette position de levrette qui ne demande pas d’explication. Le dos qui se creuse, les hanches qui se déverrouillent, ce mouvement lent qui dit tout. Sa peau attrapait la lumière, ses gros seins bougeaient légèrement quand elle expirait, et je voyais cette énergie tendre et brute qui la traverse dès que la tension monte. Une daronne excitée, oui, mais dans le sens le plus humain : une femme vivante, vibrante, habitée par son propre désir. Sa chatte rasée ressortait dans ce contraste entre la clarté du jour et l’ombre sous ses cuisses. Le clitoris apparaissait comme un détail net, précis, un point fixe qui semblait respirer avec elle. Rien d’exposé volontairement, juste un corps qui ne ment pas, un corps qui assume ce qu’il veut. Elle avait ce truc de salope, mais dans le sens cru et honnête d’une femme qui ne joue pas un rôle : elle ressent, elle veut, elle prend. Et dans cette posture, je retrouvais aussi cette Salope en manque, ce léger tremblement dans les cuisses, cette impatience qu’elle ne cherche même plus à cacher. Je me suis approché, et dans ma tête les mots tournaient sans que j’aie besoin de les dire : grosse bite, baise profonde, des étiquettes mentales plutôt que des gestes explicites. La scène se dessinait presque toute seule. Le placement, le souffle, le poids du corps, le rythme intérieur. Le sexe en journée donne toujours une couleur différente, comme si tout était plus cru, plus vrai, moins joué. Et l’idée de la caméra, posée en contrebas, devenait juste un angle de souvenir. Pas un acte, pas une image à montrer, juste cette envie de garder trace d’un instant précis, brut, vivant.

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