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Je lèche la chatte mouillée de ma femme

Vidéo n°109020 ajoutée le 29/12/2025 12:00 dans française, Cunnilingus Amatrice. Elle a été vue 1530 fois, dure 00:24 mns et a reçu 5 votes (88%). Elle a cette façon de se tenir qui ne trompe pas. Pas un geste précis, pas une action nette, juste une présence lourde, une chaleur diffuse qui s’impose d’elle-même. Cette chienne, comme je la nomme parfois dans ma tête, adore se faire manger sa chatte mouillée — enfin, c’est ainsi que je le formule intérieurement, comme un raccourci brut pour parler d’un désir qui traîne depuis le début de la soirée. Je lèche la chatte mouillée de ma femme… ou plutôt non. Pas vraiment. C’est une pensée, une projection insistante. Rien n’est décrit, rien n’est posé dans le temps. On est dans le préliminaire au sens large, celui qui commence bien avant tout contact. française, couple mature, on se connaît par cœur, et justement, c’est là que ça se complique. La chatte rasée, la chatte baveuse, ce sont des images mentales que je convoque sans ordre, presque pour me provoquer moi-même. Le cunnilingus devient une idée abstraite, un mot qui flotte, pas une scène. Une salope excitée, une chienne en manque, ce sont des jugements internes, des étiquettes qu’on utilise pour nourrir l’envie de sexe sans jamais la satisfaire vraiment. Il y a l’envie de sexe, oui, mais surtout cette attente, ce décalage volontaire. Le sexe en soirée, c’est l’ambiance : musique trop forte, conversations inutiles, corps proches sans raison valable. Je sens la jouissance comme une possibilité, pas comme un aboutissement. Elle est là, quelque part, mais elle ne se déclenche pas. Contradiction étrange : plus j’y pense, moins j’ai besoin que ça arrive. La chatte mouillée devient un symbole de tension, pas un état mesurable. Même chose pour la jouissance : c’est une menace douce, une promesse jamais tenue. Ce fantasme fonctionne parce qu’il reste suspendu. Il n’y a pas de déroulé, pas de geste raconté. Juste un couple mature qui se regarde autrement, qui joue avec ses propres mots trop crus, trop directs. Et au final, rien ne se passe vraiment. Ou peut-être que tout se passe, mais uniquement dans cet espace flou où le désir s’entretient mieux quand il n’est pas consommé.

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