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Je caresse la chatte trempée de ma femme excitée

Vidéo n°107950 ajoutée le 24/12/2025 00:00 dans française, chatte rasée Mature. Elle a été vue 1283 fois, dure 02:51 mns et a reçu 2 votes (60%). La chambre avait cette odeur un peu tiède de fin d’après-midi, ce mélange de drap froissé, de peau chaude et de silence qui flotte quand la maison retombe sur son rythme calme. La lumière, elle, glissait en bande pâle sur le lit, comme si elle découpait un espace à part où rien ne devait entrer. Et c’est dans ce calme un peu suspendu que tout a commencé, sans geste brusque, sans parole, juste cette tension douce qui s’installe entre deux corps qui se connaissent par cœur. Un moment banal qui change soudain de texture. Elle était allongée sur le côté, tranquille, le souffle posé, dans cette posture relâchée propre aux femmes matures qui ne jouent rien, qui n’ont plus rien à prouver. Son corps obèse, assumé, reposait dans une sorte d’abandon simple, un abandon qui n’a rien de spectaculaire mais qui crée immédiatement une proximité différente, un truc plus vrai. Sa cuisse bouge à peine, un ajustement instinctif, comme si son corps avait compris avant elle ce qui allait arriver. Et c’est là que tout s’est resserré autour du moment. Je me suis approché sans réfléchir, juste attiré par la manière dont elle respirait, par ce souffle un peu plus court, par cette chaleur particulière qui montait d’elle. Ma main a glissé d’abord sur son ventre, lentement, comme pour vérifier que ce qu’elle offrait était réel. Puis elle a continué son trajet, plus bas, plus franc, jusqu’à sentir la chaleur qui débordait déjà entre ses cuisses. Je joue et caresse la chatte mouillée de ma femme, mais ici, dans cette version neutre, ce sont surtout ses réactions qui racontent tout. Sa chatte rasée ne se voit pas vraiment dans la scène, mais la manière dont elle ouvre légèrement les jambes, dont son bassin avance d’un tout petit centimètre, suffit à comprendre. L’humidité se devine comme une vérité calme, une évidence physique. Je sens sa peau vibrer un peu sous mes doigts, comme si chaque contact envoyait quelque chose plus loin dans son corps. Sa réaction est simple, brute, sans retenue : une femme qui s’abandonne au plaisir sans le maquiller. Je caresse la chatte trempée de ma femme excitée, et chaque mouvement de ma main confirme ce que son corps dit déjà. Son souffle devient irrégulier. Ses doigts agrippent le drap sans qu’elle s’en rende compte. Sa nuque se tend par petites secousses, comme si elle essayait de retenir un frisson qui remonte trop vite. Elle entre alors dans cet état particulier qu’elle connaît bien : mi-présente, mi-perdue, prise dans un plaisir qui n’a pas besoin d’être bruyant pour être profond. Le mot Salope excitée n’existe ici que dans son attitude : pas une saleté, pas une vulgarité, juste une vérité sensuelle qui la traverse. Une femme qui assume son corps, son envie, sa manière de réagir. Son côté soumise se devine dans le fait qu’elle ne dit rien, qu’elle laisse faire, qu’elle offre tout sans réfléchir. Pas une soumission jouée : une confiance totale, un abandon calme. Je sens sous mes doigts cette chatte mouillée, chaude, vivante, presque impatiente. Le doigtage devient un langage, une conversation sans mots où ses réactions guident tout. Elle bouge un peu, très peu, juste ce qu’il faut pour montrer qu’elle veut plus, qu’elle accepte plus. Son corps entier est une réponse. Et dans ce moment, elle devient cette gourmande offerte, une femme qui suit son désir sans le questionner. La masturbation prend un rythme lent, irrégulier, humain. Rien n’est mécanique. Rien n’est parfait. Et c’est ça qui rend la scène réelle : ses soupirs coupés, son bassin qui cherche, ses cuisses qui tremblent parfois sans prévenir. L’envie de sexe flotte dans la pièce comme une chaleur invisible, un parfum d’intimité dense qui enveloppe tout. Je continue, doucement, puis plus franchement, suivant son corps, son souffle, ce qu’elle m’offre sans un mot. Et quand elle finit par lâcher un soupir plus profond, presque un gémissement étouffé, je sens que tout s’est aligné : la pièce, la lumière, nos corps, ce moment suspendu. Le lit s’enfonce légèrement sous nous. Le monde disparaît. Et il ne reste plus que ça : elle, moi, et ce geste simple qui raconte toute notre intimité.

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