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Je baise cette chienne par derrière quand elle est allongée

Vidéo n°108971 ajoutée le 25/12/2025 00:00 dans française, levrette Libertine. Elle a été vue 569 fois, dure 01:21 mns et a reçu 2 votes (90%). Il y a cette image qui revient sans prévenir, pas vraiment nette, plutôt comme une posture figée dans la mémoire. Une présence allongée, sur le ventre, dans une chambre impersonnelle où tout semble feutré. Ce n’est pas une scène, plutôt une impression persistante, un mélange de tension et d’habitude. Le regard se pose de l’extérieur, presque froid, et pourtant quelque chose accroche. française, levrette, milf : ce sont des mots qui traversent l’esprit, comme des étiquettes qu’on utilise pour donner un cadre, pas pour raconter. Dans ce contexte, la tenue coquine devient un détail secondaire, presque banal, comme si elle faisait partie du décor depuis toujours. Le sexe à l’hôtel n’a rien d’exotique ici, c’est juste un lieu de passage, neutre, propice à une certaine liberté mentale. Baise par derrière, ce sont des mots qui tournent, sans image précise, plus comme une idée insistante que comme un souvenir réel. Salope en manque, chienne excitée, ce sont des termes crus, utilisés intérieurement, peut-être pour provoquer quelque chose, ou au contraire pour garder le contrôle. Il y a une contradiction là-dedans : vouloir de la distance tout en restant accroché à la sensation. Chatte dilatée, gourmande, grosse queue, chatte mouillée… ces expressions surgissent comme des pensées brutes, sans suite logique, presque gênantes par moments. Elles ne décrivent rien, elles traduisent surtout un état d’esprit, une tension diffuse qui ne cherche pas forcément à se résoudre. Le sexe en soirée se mélange à l’idée d’une baise puissante, mais rien ne se déroule vraiment. Tout reste suspendu. Et puis il y a ce flou volontaire, cette façon de ne pas aller au bout. Comme si rester dans l’évocation suffisait largement. Peut-être que c’est ça, au fond, le plus marquant : cette habitude de penser, de nommer, sans jamais poser d’acte clair. On s’arrête là, un peu en déséquilibre, avec cette impression persistante qui ne se ferme pas vraiment.

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