sexetag
Avez-vous 18 ans ?
Pour accéder au contenu, je certifie être majeur.
J'ai 18 ans ou plus - Entrer

Je baise le mec de ma copine

Vidéo n°108972 ajoutée le 24/12/2025 18:00 dans française, grosse bite Libertine. Elle a été vue 1472 fois, dure 00:38 mns et a reçu 2 votes (100%). Il y a ce mélange étrange, presque dérangeant, qui s’installe sans prévenir. Pas une scène, pas une action claire, plutôt une idée qui tourne en boucle. Je kiffe la grosse bite du mec à ma copine, ça surgit comme une pensée brute, pas forcément assumée, mais tenace. Juste après, une autre phrase s’impose, contradictoire peut-être : je baise le mec de ma copine. Pas dans le sens d’un geste, plutôt comme un fantasme mental, une projection un peu bancale qui dit plus sur l’état d’esprit que sur la réalité. Dans ce flou, les mots s’accumulent. française, grosse bite, grosse queue… ce sont des étiquettes mentales, presque mécaniques. Fellation, pipe, bonne suceuse apparaissent comme des références abstraites, des images culturelles plus que des souvenirs précis. Rien ne se déroule vraiment. C’est comme si l’imaginaire restait bloqué à la porte, volontairement. Salope excitée, chienne en manque, gourmande déchaînée, ce sont des termes qu’on se répète pour nourrir une tension, pas pour raconter quoi que ce soit de concret. Il y a aussi ce regard extérieur sur la situation. Laideron, mot dur, presque gratuit, qui arrive puis repart aussitôt. Envie de sexe, missionnaire… encore des mots-clés qui flottent, sans chronologie, sans continuité. Et au centre de tout ça, le candaulisme, le cocu, non pas comme des pratiques décrites, mais comme des positions mentales. Une façon de se placer, de regarder, de ressentir une excitation mêlée à une forme de contrôle ou d’abandon. Ce qui domine, c’est cette oscillation permanente. Désir et distance. Provocation et retenue. On se surprend à aimer l’idée sans vouloir aller plus loin. Peut-être que ça suffit, finalement. Rester dans ce déséquilibre, dans cette zone grise où les mots font presque tout le travail. Et puis on s’arrête là, sans conclusion nette, avec cette sensation diffuse qui continue de traîner, un peu gênante, un peu grisante, sans jamais se fermer complètement.

2 votes (100%)
Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire
Afficher/Masquer les commentaires (1)
1
Ces vidéos devraient vous plaire
Nos catégories du moment