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Elle se fait ouvrir la chatte en bord de mer

Vidéo n°108027 ajoutée le 31/10/2025 04:00 dans levrette, milf Libertine. Elle a été vue 3249 fois, dure 10:16 mns et a reçu 3 votes (87%). Le vent salé siffle doucement entre les rochers. Le sable colle à la peau, la lumière du soleil découpe leurs ombres sur le sol chaud. La milf s’agenouille face à la mer, la chatte rasée qui brille sous les reflets d’écume. Il s’approche derrière, la caresse, l’embrasse dans le cou. Leurs respirations se mélangent, lourdes, hachées. Rien d’autre que le bruit des vagues et leurs corps. Le sexe en extérieur, brut, libre, presque sauvage. Elle se cambre, la jupe relevée, les cheveux tirés par le vent. Le sable crisse sous leurs genoux. Il la prend doucement d’abord, juste pour sentir. Puis plus fort, plus profond. La levrette s’impose d’elle-même, rythmée, vive. La baise profonde fait claquer leurs peaux, écho parfait au ressac. Elle gémit, se mord la lèvre, la salope excitée perd le fil, les yeux mi-clos. La grosse queue la traverse, encore, encore. Autour d’eux, rien. Le cric désert garde leurs secrets. Les mouettes crient, le vent souffle, le sable vole. L’exhibition les rend plus vivants, plus fous. Elle murmure qu’elle n’en peut plus, qu’elle veut tout. Ses mains s’enfoncent dans le sable, son dos tremble. La chatte mouillée luit sous le soleil. Il accélère, la saisit par la taille, la tire vers lui avec force. Le son sec de la peau résonne contre les rochers. Puis elle se retourne, haletante, les lèvres tremblantes. Elle le regarde, le fixe, et ouvre la bouche. Il comprend, avance. L’éjaculation buccale est rapide, chaude, inattendue. Elle avale, un filet coule sur son menton. Le vent sèche leurs corps, la mer emporte les derniers sons. Elle rit, se relève, essuie sa bouche du revers de la main. Ils se rhabillent lentement, sans se parler. Le soleil décline, l’air reste chaud. Le sexe en journée vient de s’achever, mais tout semble encore vibrer. Sur la plage vide, leurs traces s’effacent peu à peu, comme si rien n’avait eu lieu. Et pourtant, tout est resté là, gravé dans la peau, vivant, brut, impossible à oublier.

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