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Elle kiffe me sucer la queue pendant que je conduis

Vidéo n°108735 ajoutée le 12/12/2025 12:00 dans fellation, française Libertine. Elle a été vue 1163 fois, dure 01:50 mns et a reçu 3 votes (67%). La lumière de l’après-midi traversait le pare-brise, plate et un peu froide, donnant à l’habitacle cette ambiance où chaque détail ressort plus net que d’habitude. La Française, une salope mature, une milf que beaucoup qualifieraient de laideron, s’était installée sur le siège passager avec cette attitude étrangement calme, comme si la route qui défilait devant elle avait quelque chose de rassurant. Sa manière de lisser machinalement ses cheveux, de repositionner sa ceinture, de respirer plus vite à certains moments, annonçait déjà ce qui allait suivre, sans qu’elle ait besoin d’un mot. Elle jetait des regards courts, presque nerveux, puis se penchait légèrement, comme attirée par une idée qu’elle n’essayait même plus de repousser. On connaissait ses habitudes : une bonne suceuse, une femme qui s’exprime plus avec sa bouche qu’avec ses phrases, une bouche à pipe capable de transformer un simple trajet en scène silencieuse. Sa main venait toucher la grosse queue, la grosse bite, avec ce mélange de timidité et de détermination qui lui appartenait. Rien de spectaculaire, rien d’assumé comme un jeu de rôle. Juste une envie qui prenait le dessus. La pipe en voiture, la fellation en journée, n’avaient rien d’un fantasme ici. Elles ressemblaient plutôt à un rituel maladroit mais sincère, un moment où ses gestes se synchronisaient avec les vibrations de la route. Sa tête approchait lentement, hésitait un peu, puis trouvait la bonne position. Une pipe baveuse, imparfaite, parfois interrompue par un cahot de la chaussée, parfois fluide quand la route devenait droite. Sa bouche enveloppait, relâchait, reprenait, rythme irrégulier mais chargé de cette implication qui compensait largement le manque de grâce. Dans l’air, une chaleur montait, discrète mais palpable. Son souffle changeait, et sa chienne excitée, sa Salope excitée, s’exprimait surtout dans sa manière de se rapprocher encore, d’insister, de chercher la reconnaissance dans ton silence. Sa chatte mouillée, invisible mais devinée dans ses mouvements du bassin, témoignait d’un plaisir qui n’était pas feint. Tout restait contenu, presque banal, presque normal dans la banalité d’une route française bordée d’arbres. Il n’y avait pas de performance, pas de glamour, juste une femme moche à sa façon, attachante malgré elle, capable de transformer un trajet anodin en moment dense, maladroit, vrai.

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