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Elle kiffe ma grosse queue au fond de sa gorge

Vidéo n°108708 ajoutée le 09/12/2025 12:00 dans française, gorge profonde Libertine. Elle a été vue 695 fois, dure 01:05 mns et a reçu 2 votes (60%). La première chose qui m’a marqué, c’est le froissement du tissu, ce bruit très léger qui trahit un mouvement hésitant dans une pièce pourtant calme, avec la lumière un peu vive du sexe en journée qui découpe chaque détail sans rien adoucir. Elle était là, habillée, bien droite, avec ses cheveux attachés, ce regard profond, presque troublant, des yeux verts qui ne lâchaient rien. Et derrière les mots bruts qu’on balance trop vite — ma salope habillée me suce en gorge profonde, elle kiffe ma grosse queue au fond de sa gorge — il restait surtout une scène beaucoup plus humaine, pleine de tensions minuscules, de gestes infimes qui racontaient mieux que tout la place de chacun. Cette Française, une brune, une salope obèse comme elle s’amusait à se surnommer pour reprendre possession du vocabulaire qu’on lui jetait parfois au visage, avançait dans l’instant avec une lucidité étonnante. On voyait ses gros seins se soulever légèrement à chaque respiration, sa façon de se recentrer avant de bouger, comme si elle cherchait le point d’équilibre entre envie et pudeur. Rien d’automatique, rien de mécanique. Plutôt une forme d’accord tacite entre elle et elle-même. La fellation, la pipe, la gorge profonde, ce ne sont que des mots, des étiquettes simplifiées. Dans le réel, ça ressemblait davantage à un glissement contrôlé, une recherche de rythme, un abandon dosé. Et cette expression excellente suceuse, qu’elle prenait parfois avec un sourire nerveux, ne traduisait pas la délicatesse du moment, ni l’attention qu’elle mettait à chaque geste. La pipe baveuse, la présence de la grosse bite, de la grosse queue, tout ça perdait son côté brut pour devenir simplement des éléments du décor émotionnel. Ce qui m’a frappé surtout, c’est la manière dont elle assumait son rôle sans s’y enfermer. Une chienne en manque, une chatte mouillée, oui, si on prend les mots au pied de la lettre, mais dans la réalité c’était autre chose : une femme qui cherchait à sentir qu’elle existe encore, qu’elle peut provoquer, guider, recevoir, sans s’effacer. Son souffle, ses hésitations, sa façon de se replacer, d’avancer d’un millimètre puis d’attendre… tout racontait une histoire beaucoup plus profonde que celle qu’on imagine en surface. Une scène imparfaite, brute, mais réelle. Une rencontre de deux vulnérabilités dans une lumière trop franche pour mentir.

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